A l’ère où tout se mesure et tout particulièrement la Satisfaction du client, que deviennent celles et ceux que les DRH baptisent Ressources Humaines ?
On leur avait promis l’eldorado, le bien-être et l’épanouissement au travail pour une meilleure performance.
Ils sont déboussolés et bouleversés, par ces solutions successives destinées à améliorer leurs conditions et leurs performances au travail… messageries, internet, nomadisme, bureau et espace ouvert, co-working… à tel point que pour certains le working est devenu insurmontable !
La réalité : malaise au travail, démotivation, stress, burn-out, absentéisme… Des maux psychologiques associés à des échéances de plus en plus courtes, des exigences qui dépassent les capacités, un manque cruel de communication et une brillante absence de bienveillance.
Si des facteurs de mal être liés au travail sont aujourd’hui mis en évidence, des mesures en amont d’actions de prévention permettent de réduire ces maux.
Mais que fait l’entreprise pour permettre à ses collaborateurs (devenu occupant) de se sentir bien : l’environnement de travail est désormais optimal pour ne pas dire minimal, chacun est connecté (trop) et peut disposer d’outils et de services innovants. Dépassée par toutes les orientations, contradictions et changements de cap, elle doit s’adapter à de nouvelles obligations.
Prendre le pouls de ses collaborateurs, les protéger et les soigner devient une obligation réglementaire.
Revenons aux fondamentaux, aux principes de base, du bon sens. Il n’y a pas de réussite sans analyse. Privilégions l’écoute des collaborateurs, ils ont tant besoin de s’exprimer, ils ont tant d’idées et pourquoi ne pas en appliquer certaines.
Des entreprises y parviennent, c’est rassurant. Alors un peu de mesure dans les rouages et rappelons-nous que… « l’on ne peut améliorer que ce qui est mesuré ». Saisir ici le texte de la Chronique (limité à 2500 caractères)