Les conséquences de la pollution lumineuse ne se résument pas à la non observation des étoiles. Elles ont aussi des effets perturbateurs sur la biodiversité et sur la santé, sans compter le gaspillage énergétique et son impact financier. A Paris, le quartier de La Défense fait partie des sites les plus éclairés.
Face à ce constat, Mazars, occupant de la Tour Exaltis à La Défense, immeuble IGH, décide de s’attaquer dès 2008 à cet excès d’éclairage et de consommation inutile d’énergie : trop de bureaux restent allumés la nuit et en journée alors que les collaborateurs sont absents.
C’est donc sans attendre le décret du 25 janvier 2013 visant à limiter la nuisance lumineuse, que des premières mesures sont prises par Mazars :
Passage à l’éclairage de nuit dès 21h sur les parties communes ; extinction complète à 1 h du matin de l’éclairage extérieur sur horloge crépusculaire avec un coût de mise en place, pour l’occupant locataire, de 0€ puisque l’on utilise la GTB de l’immeuble ; programmation pour les parties privatives d’une extinction automatique à 9h, 12h30 et 20h et au-delà automatiquement toutes les heures.
L’éclairage du matin est programmé en fonction de l’activité des prestataires « ménage , restauration, technique…» ; pour les circulations en journée, l’intensité de l’éclairage diffère en été et en hiver ; ajout de détecteurs de présence dans les lieux non occupés en permanence tels qu’espace détente, cafétéria, espace collaboratif, sanitaires…
Mais au-delà des économies c’est d’abord un geste responsable de développement durable : Mazars est passé depuis 2015 en énergie verte et française.
Nous avons une importante part de jeunes collaborateurs dans nos effectifs et c’est notre responsabilité de leur montrer que la vie en entreprise se traduit aussi par la prise de conscience de son environnement de travail et de son impact sur l’environnement. Nous donnons du sens à chacune de nos actions du quotidien.