Alors que l’hybridation devient un sujet de réflexion permanente, on s’interroge sur la manière, tant sur le plan de l’organisation du travail que de l’aménagement, de recréer une communauté et de favoriser la cocréation.
Les échanges informels à la machine à café ont pris des formes différentes, mais la communauté et la culture d’entreprise sont toujours entretenues par les rencontres spontanées et les interactions en personne. La conception des environnements doit donc favoriser ces moments de connexion et de collaboration, grâce à des systèmes adaptables, ergonomiques et où la technologie est embarquée.
Ces espaces collaboratifs ne doivent pas remplacer, mais compléter les espaces de travail individuel. Il s’agit d’offrir davantage d’espaces de cocréation, où l’apprentissage est facilité par des outils et des ressources permettant aux équipes de réfléchir, d’expérimenter et d’innover ensemble. En matière d’aménagement, la flexibilité se traduit par la présence de nombreuses cabines à géométrie variable, de mobilier sur roulettes et pliable, de cloisons déplaçables… et d’objets de plus en plus futuristes.
Les Américains – dont les tendances finissent souvent par arriver chez nous, évoquent aujourd’hui la neuroesthétique, un domaine naissant qui explore la manière dont les éléments environnementaux tels que la couleur, le son et l’art influencent le cerveau, les émotions et l’expérience spatiale à un niveau subconscient.
L’idée que les vues et les sons exercent une influence sur l’humeur n’est pas nouvelle, mais la neuroesthétique va plus loin. Il s’agit d’exploiter ces éléments pour favoriser le bien-être, la productivité et l’enrichissement personnel. Par exemple, la recherche montre qu’il est plus facile pour le cerveau de traiter visuellement les formes et les motifs tels que trouvés dans la nature. L’utilisation de couleurs vives, de textures attrayantes et de motifs affirmés apporte un sentiment de joie et encourage la connectivité...
Alors que l’hybridation devient un sujet de réflexion permanente, on s’interroge sur la manière, tant sur le plan de l’organisation du travail que de l’aménagement, de recréer une communauté et de favoriser la cocréation.
Les échanges informels à la machine à café ont pris des formes différentes, mais la communauté et la culture d’entreprise sont toujours entretenues par les rencontres spontanées et les interactions en personne. La conception des environnements doit donc favoriser ces moments de connexion et de collaboration, grâce à des systèmes adaptables, ergonomiques et où la technologie est embarquée.
Ces espaces collaboratifs ne doivent pas remplacer, mais compléter les espaces de travail individuel. Il s’agit d’offrir davantage d’espaces de cocréation, où l’apprentissage est facilité par des outils et des ressources permettant aux équipes de réfléchir, d’expérimenter et d’innover ensemble. En matière d’aménagement, la flexibilité se traduit par la présence de nombreuses cabines à géométrie variable, de mobilier sur roulettes et pliable, de cloisons déplaçables… et d’objets de plus en plus futuristes.
Les Américains – dont les tendances finissent souvent par arriver chez nous, évoquent aujourd’hui la neuroesthétique, un domaine naissant qui explore la manière dont les éléments environnementaux tels que la couleur, le son et l’art influencent le cerveau, les émotions et l’expérience spatiale à un niveau subconscient.
L’idée que les vues et les sons exercent une influence sur l’humeur n’est pas nouvelle, mais la neuroesthétique va plus loin. Il s’agit d’exploiter ces éléments pour favoriser le bien-être, la productivité et l’enrichissement personnel. Par exemple, la recherche montre qu’il est plus facile pour le cerveau de traiter visuellement les formes et les motifs tels que trouvés dans la nature. L’utilisation de couleurs vives, de textures attrayantes et de motifs affirmés apporte un sentiment de joie et encourage la connectivité.
Les innovations sont aussi nombreuses en matière d’inclusivité, avec des produits conçus pour la neurodiversité, la neurosensibilité, toutes les capacités et tous les âges. Le constat : il n’existe pas de réponse universelle, d’espace qui conviendrait à tous. Les lieux de travail ont une approche plus holistique : préférences visuelles, préférences tactiles, préférence thermique...
Enfin, la durabilité est désormais considérée comme un principe « non négociable ». Les professionnels promettent des pratiques plus vertes telles que l’écoconception, le zéro déchet, la neutralité carbone, le respect de certifications industrielles et sélection de matériaux durables.