Le dérèglement climatique n’est plus de la prospective et même s’il ressemble à certaines dystopies, il est bien ici et maintenant. Les chiffres s’enchainent avec une précision accrue, les graphes aux messages sans équivoques éclosent.
Quelles actions pour l’immobilier ? À quel niveau ?.
Au lieu de la dystopie annoncée, pourquoi ne pas imaginer collectivement une utopie, une utopie immobilière. Une Immotopie c’est-à-dire que l’immobilier devienne un contributeur de la transition écologique, qu’il soit une solution plutôt qu’un problème environnemental, un immobilier actif et imaginatif sur les biens, les services, les procédés, les organisations, s’opposant au dérèglement climatique et qui serait :
- Efficace : dont l’impact réel serait évalué, mesuré à l’aide d’outils d’analyse de cycles de vie, et déjà nombre de pseudo solutions ne franchissent pas ce premier test.
- Radicale : l’effort de réduction des émissions de gaz à effet de serre est considérable, puisque en 2020, avec une planète confinée pour cause de pandémie, les émissions ont diminué de 7% ce qu’il faudrait faire volontairement chaque année, pour atteindre la décarbonation de l’économie, permettant d’espérer respecter l’accord de Paris
- Rapide à mettre en œuvre : face à l’urgence climatique, il nous resterait moins de 10 ans de budget carbone, avant de dépasser le seuil d’élévation de température de 2°C
- Massif : avec des solutions qui seraient généralisables en terme de coûts, qui tiennent compte des contextes sociaux et compatibles avec les ressources planétaires disponibles.
Le dérèglement climatique n’est plus de la prospective et même s’il ressemble à certaines dystopies, il est bien ici et maintenant. Les chiffres s’enchainent avec une précision accrue, les graphes aux messages sans équivoques éclosent.
Quelles actions pour l’immobilier ? À quel niveau ?.
Au lieu de la dystopie annoncée, pourquoi ne pas imaginer collectivement une utopie, une utopie immobilière. Une Immotopie c’est-à-dire que l’immobilier devienne un contributeur de la transition écologique, qu’il soit une solution plutôt qu’un problème environnemental, un immobilier actif et imaginatif sur les biens, les services, les procédés, les organisations, s’opposant au dérèglement climatique et qui serait :
- Efficace : dont l’impact réel serait évalué, mesuré à l’aide d’outils d’analyse de cycles de vie, et déjà nombre de pseudo solutions ne franchissent pas ce premier test.
- Radicale : l’effort de réduction des émissions de gaz à effet de serre est considérable, puisque en 2020, avec une planète confinée pour cause de pandémie, les émissions ont diminué de 7% ce qu’il faudrait faire volontairement chaque année, pour atteindre la décarbonation de l’économie, permettant d’espérer respecter l’accord de Paris
- Rapide à mettre en œuvre : face à l’urgence climatique, il nous resterait moins de 10 ans de budget carbone, avant de dépasser le seuil d’élévation de température de 2°C
- Massif : avec des solutions qui seraient généralisables en terme de coûts, qui tiennent compte des contextes sociaux et compatibles avec les ressources planétaires disponibles.
Pour illustrer ce possible, parlons de la création du Label ISR immobilier, dont l’objectif est de rationaliser les pratiques de gestion durable ainsi que la création de l’association Circolab fondée sur l’économie circulaire et le réemploi des matériaux.
En conclusion, c’est une responsabilité, mais également une opportunité historique pour l’immobilier ; c'est la raison d’être des bâtisseuses et bâtisseurs, que de s’adapter à leur environnement pour créer des espaces hospitaliers.