Facilities

Chroniques

• Santé, confort et bien-être : la clé du retour au bureau des collaborateurs ?

  Ludovic Chambe, Directeur Développement Durable CBRE

  Lundi 17 Mai 2021

  Conséquence de cette pandémie, un grand nombre d’entreprises souhaitent aujourd’hui renforcer leurs programmes CSBE (Confort, Santé et Bien-Être). C’est une bonne chose, car plusieurs éléments doivent être analysés dès maintenant pour préparer la réouverture des bureaux : les paramètres physiques de l’espace de travail (qualité de l’air, nouveaux plans d’aménagement, …), mais également les services et avantages mis à disposition des collaborateurs pour faciliter leur retour. En effet, la pandémie a mis en lumière l’importance de la filtration et de la ventilation pour atténuer la transmission des maladies infectieuses aéroportées. Autre cause de désagrément dans les bureaux, le bruit. D’où la nécessité d’un équilibre d’espaces ouverts et fermés en se focalisant sur l’ABC de l’atténuation du bruit (A pour Absorber, B pour Bloquer et C pour Couvrir). De même, l’accès à la lumière naturelle et la vue sur la nature abaissent les niveaux de cortisol (une des hormones du stress) et favorisent une concentration tout au long de la journée. Dans les zones urbaines où il est parfois difficile d’avoir accès à la lumière naturelle, les entreprises peuvent mettre en place différentes solutions, comme le contrôle de l’intensité, la température de la couleur et des systèmes d’éclairages circadiens.

  

  Conséquence de cette pandémie, un grand nombre d’entreprises souhaitent aujourd’hui renforcer leurs programmes CSBE (Confort, Santé et Bien-Être). C’est une bonne chose, car plusieurs éléments doivent être analysés dès maintenant pour préparer la réouverture des bureaux : les paramètres physiques de l’espace de travail (qualité de l’air, nouveaux plans d’aménagement, …), mais également les services et avantages mis à disposition des collaborateurs pour faciliter leur retour. En effet, la pandémie a mis en lumière l’importance de la filtration et de la ventilation pour atténuer la transmission des maladies infectieuses aéroportées. Autre cause de désagrément dans les bureaux, le bruit. D’où la nécessité d’un équilibre d’espaces ouverts et fermés en se focalisant sur l’ABC de l’atténuation du bruit (A pour Absorber, B pour Bloquer et C pour Couvrir). De même, l’accès à la lumière naturelle et la vue sur la nature abaissent les niveaux de cortisol (une des hormones du stress) et favorisent une concentration tout au long de la journée. Dans les zones urbaines où il est parfois difficile d’avoir accès à la lumière naturelle, les entreprises peuvent mettre en place différentes solutions, comme le contrôle de l’intensité, la température de la couleur et des systèmes d’éclairages circadiens. Pour limiter la sédentarité des salariés, améliorer leur posture de travail et diminuer les douleurs associées, certains aménagements de bureau - qualifiés de Design actif - peuvent encourager l’activité physique. Notamment, l’incitation à utiliser les escaliers internes ou la mise en place de postes de travail ergonomiques et réglables en hauteur. Les aménagements extérieurs (espaces verts, assises, œuvres d’art) favorisant la découverte et la marche y contribuent aussi sans oublier l’intégration d’espaces dédiés au calme, que ce soit de repos, de bien-être ou de méditation.

  Plus que jamais, la santé et la sécurité de l’environnement de travail doivent donc être une mission prioritaire pour les entreprises. L’effet de surprise de la Covid-19 il y a un an l’a souligné et les entreprises doivent s’y préparer avec la mise en place d’un plan de gestion des situations de crise ou de continuité d’activité (PCA). Enfin, avec le télétravail forcé, les entreprises font aujourd’hui face à de nouveaux défis en matière de gestion des ressources humaines. Or, il a été démontré que le lien social est essentiel au bien-être de chacun et protège contre le burn-out. C’est un levier d’amélioration de la collaboration. Le fait d’avoir davantage d’autonomie renforce également les capacités des collaborateurs.

  Lire la suite Réduire

• Pour plus de FM dans les salles de cours

  Delphine Minchella & Edouard Vinçotte , EM NORMANDIE

  Lundi 10 Mai 2021

  

  Même s’il s’agit d’une source d’emplois importante et présente sur l’ensemble du territoire Français, le Facility Management demeure aujourd’hui encore très peu connu des étudiants, même lorsqu’ils sont en cursus d’éco-gestion. Pourtant, le simple fait que les acteurs du Facility Management aient dû continuer leurs activités de terrain – y compris lorsque la dangerosité du virus était encore mal cernée et faisait craindre le pire – démontre qu’il s’agit d’un partenaire essentiel pour la plupart des organisations. Il nous importait donc de trouver un moyen attractif pour ramener le sujet du Facility Management dans la salle de classe.

  La production intellectuelle des enseignants-chercheurs en sciences de gestion ne se limite pas à des articles académiques publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture, même s'il s'agit bien de notre mission principale. A côté, il y a les études de cas à visée pédagogique telles que celles publiées par la CCMP, l’éditeur francophone de référence, qui constituent un élément essentiel assurant une excellente jonction entre nos deux rôles d'enseignement et de recherche.

  De quoi s’agit-il précisément ? Une étude de cas est l’exposé d’un fait ou d’une problématique organisationnels, tenant en quelques pages mais offrant le plus de données possibles, afin que les étudiants puissent pleinement en saisir le contexte et les enjeux. Puis, des questions d’approfondissement ou des exercices d’application se greffent au texte, de sorte que les étudiants mobilisent leurs connaissances théoriques et appréhendent ainsi mieux le phénomène empirique proposé.

  

  Même s’il s’agit d’une source d’emplois importante et présente sur l’ensemble du territoire Français, le Facility Management demeure aujourd’hui encore très peu connu des étudiants, même lorsqu’ils sont en cursus d’éco-gestion. Pourtant, le simple fait que les acteurs du Facility Management aient dû continuer leurs activités de terrain – y compris lorsque la dangerosité du virus était encore mal cernée et faisait craindre le pire – démontre qu’il s’agit d’un partenaire essentiel pour la plupart des organisations. Il nous importait donc de trouver un moyen attractif pour ramener le sujet du Facility Management dans la salle de classe.

  La production intellectuelle des enseignants-chercheurs en sciences de gestion ne se limite pas à des articles académiques publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture, même s'il s'agit bien de notre mission principale. A côté, il y a les études de cas à visée pédagogique telles que celles publiées par la CCMP, l’éditeur francophone de référence, qui constituent un élément essentiel assurant une excellente jonction entre nos deux rôles d'enseignement et de recherche.

  De quoi s’agit-il précisément ? Une étude de cas est l’exposé d’un fait ou d’une problématique organisationnels, tenant en quelques pages mais offrant le plus de données possibles, afin que les étudiants puissent pleinement en saisir le contexte et les enjeux. Puis, des questions d’approfondissement ou des exercices d’application se greffent au texte, de sorte que les étudiants mobilisent leurs connaissances théoriques et appréhendent ainsi mieux le phénomène empirique proposé.

  Pour que les apprenants adhèrent pleinement à ce travail d’immersion, il était préférable de se baser sur un cas réel, alimenté par des entretiens avec des professionnels du secteur. Grâce à Guillaume Amar d’Armonia et Corinne Colson-Lafon de Steam’O, nous avons ainsi récolté suffisamment d’informations pour publier une étude de cas sur la façon dont ces deux entreprises emblématiques du FM ont su manager leurs équipes dès le début du premier confinement.

  Bien plus qu’un récit, l’étude propose aux étudiants de se mettre tour à tour dans la peau de ces deux dirigeants d’entreprise, d’élaborer une stratégie pour à la fois rassurer et protéger leurs collaborateurs œuvrant sur le terrain puis, une fois que chaque groupe propose son plan d’action, Ils sont confrontés aux véritables décisions de ces dirigeants qu’ils peuvent ensuite discuter avec leur enseignant, à la lumière de théories fondamentales telles que le leadership, l’engagement, la prise de décision rationnelle ou encore la communication bottom-up.

  Cette tribune a pour vocation d’offrir une vision de ce que peut être, concrètement, l’expression d’un rapprochement entre l’Entreprise, la Recherche en gestion et l’Enseignement à travers le biais d’une étude de cas, outil pédagogique suffisamment interactif pour susciter l’intérêt des étudiants pour le FM.

  Lire la suite Réduire

• Penser demain pour vivre aujourd’hui !

  Anne Caron, Présidente de la Maison Café Caron

  Lundi 3 Mai 2021

  

  La RSE est un terme que l’on mange depuis quelques années à toutes les sauces.

  Les entreprises ont compris l’importance d’une démarche respectueuse et la nécessité de penser leur fonctionnement dans une logique de synergie durable.

  Si cette prise de conscience n’est pas nouvelle, la crise sanitaire actuelle a considérablement accéléré la demande des consommateurs en ce sens.

   Aujourd’hui, ils sont en quête de produits et services responsables et ils attendent des marques et entreprises la preuve de leur réel engagement. Il ne suffit plus de raconter de belles histoires, place à l’action.

  Si une société s’engage à planter des arbres pour compenser ses émissions de CO2 par exemple, elle devra être capable de fournir les rapports qui lui permettront de justifier de cet engagement. De même, lorsque nous proposons à nos clients de récupérer le marc de café de leurs distributeurs pour le revaloriser de sortes à servir d’engrais pour la culture de champignons et que ces mêmes champignons sont ensuite cuisinés par le restaurant d’entreprise et se retrouvent dans l’assiette des collaborateurs, eh bien la boucle est bouclée.

  

  La RSE est un terme que l’on mange depuis quelques années à toutes les sauces.

  Les entreprises ont compris l’importance d’une démarche respectueuse et la nécessité de penser leur fonctionnement dans une logique de synergie durable.

  Si cette prise de conscience n’est pas nouvelle, la crise sanitaire actuelle a considérablement accéléré la demande des consommateurs en ce sens.

   Aujourd’hui, ils sont en quête de produits et services responsables et ils attendent des marques et entreprises la preuve de leur réel engagement. Il ne suffit plus de raconter de belles histoires, place à l’action.

  Si une société s’engage à planter des arbres pour compenser ses émissions de CO2 par exemple, elle devra être capable de fournir les rapports qui lui permettront de justifier de cet engagement. De même, lorsque nous proposons à nos clients de récupérer le marc de café de leurs distributeurs pour le revaloriser de sortes à servir d’engrais pour la culture de champignons et que ces mêmes champignons sont ensuite cuisinés par le restaurant d’entreprise et se retrouvent dans l’assiette des collaborateurs, eh bien la boucle est bouclée.

  C’est le message que nous souhaitons véhiculer, s’engager dans des actions RSE peut se traduire par des choses très simples, fortes de sens, qui créent un réel impact.

  Lorsque nous encourageons nos clients à opter pour nos machines en raison des fonctionnalités de veille qu’elles proposent, c’est une façon de les emmener avec nous dans cette démarche, pour contribuer ensemble, au quotidien, à la réduction de la consommation d’énergie.

  Et quoi de plus gratifiant que de voir l’impact de ses actions pour une planète plus durable ? Lorsque vous contribuez par des gestes si simples à économiser l’équivalent de la consommation moyenne de cent, deux cent, voire trois cent foyers français, vous réalisez à quel point vous avez un rôle à joue

  Aujourd’hui, la notion de RSE prend donc tout son sens, il s’agit de RES-PON-SA-BI-LI-TE et d’engagement concrets et c’est là tout l’enjeu de la démarche.

  Fini le greenwashing et la bonne conscience, aujourd’hui, les consommateurs veulent non seulement des preuves, mais ils veulent aussi contribuer avec nous au monde de demain.

  Lire la suite Réduire

• “L'optimisme opérationnel : vaincre l'adversité*“

  jean-luc Hudry, Auteur et Conférencier

  Lundi 26 Avril 2021

  

  Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes tous impactés, directement ou indirectement, par la crise sanitaire et par ses suites. Cet événement planétaire a ainsi mis en lumière notre impréparation face à l'adversité qui a parsemé et parsèmera encore nos vies de bien des manières.

  Vous pouvez crier à l’injustice, chercher partout des coupables, fulminer contre le destin qui – c’est bien connu – vous en veut personnellement, etc. Cette réaction est humaine mais est-elle efficace ? À vous de voir, mais considérez d’abord ce second choix qui s’offre à vous.

  Prendre acte de cette période difficile, prendre aussi le temps nécessaire pour «récupérer» et vous remotiver. Ce qui est perdu est perdu, c’est injuste mais c’est ainsi. Une fois la situation actée, l’optimiste opérationnel se remet en marche et travaille à ce qu’il va désormais gagner. Il consacre toute son énergie, non à s’apitoyer sur ce qu’il ne peut changer mais à AGIR et à bâtir la suite. Plus dynamique, plus motivante et plus porteuse, cette solution vous porte vers de nouveaux objectifs et vous ouvre de nouvelles possibilités.

  J’applique cette logique à la lettre. C’est pendant la crise sanitaire que m’a été commandé cet ouvrage. J’ai donc employé le temps dégagé par le report de toutes les conférences que je devais donner à construire la suite de mon propre film.

  

  Avec la pandémie de Covid-19, nous sommes tous impactés, directement ou indirectement, par la crise sanitaire et par ses suites. Cet événement planétaire a ainsi mis en lumière notre impréparation face à l'adversité qui a parsemé et parsèmera encore nos vies de bien des manières.

  Vous pouvez crier à l’injustice, chercher partout des coupables, fulminer contre le destin qui – c’est bien connu – vous en veut personnellement, etc. Cette réaction est humaine mais est-elle efficace ? À vous de voir, mais considérez d’abord ce second choix qui s’offre à vous.

  Prendre acte de cette période difficile, prendre aussi le temps nécessaire pour «récupérer» et vous remotiver. Ce qui est perdu est perdu, c’est injuste mais c’est ainsi. Une fois la situation actée, l’optimiste opérationnel se remet en marche et travaille à ce qu’il va désormais gagner. Il consacre toute son énergie, non à s’apitoyer sur ce qu’il ne peut changer mais à AGIR et à bâtir la suite. Plus dynamique, plus motivante et plus porteuse, cette solution vous porte vers de nouveaux objectifs et vous ouvre de nouvelles possibilités.

  J’applique cette logique à la lettre. C’est pendant la crise sanitaire que m’a été commandé cet ouvrage. J’ai donc employé le temps dégagé par le report de toutes les conférences que je devais donner à construire la suite de mon propre film.

  Comme tant d’autres dans leurs secteurs, il serait tellement tentant de râler sur ces conférences repoussées, mais pourquoi perdre du temps et de l’énergie ? Je préfère travailler à toutes les nouvelles interventions que je vais faire en France et ailleurs pour insuffler les solutions d’optimisme opérationnel.

  Faites de même. Rangez-vous dans le camp de l’optimisme opérationnel. Le meilleur moyen de réussir n’est pas de rêver votre avenir mais de le créer. Même quand les faits sont difficiles à «encaisser», travaillez, non à ce que vous perdez, mais à ce que vous allez GAGNER. J'ai pour habitude de dire que ce qui vous anime doit être plus fort que ce qui vous mine.

   *Un guide pratique pour mieux manager et vivre au bureau paru aux éditions Maxima fin 2020.

  Lire la suite Réduire

• Covid 19 : Les métiers de l’accueil en première ligne

  Christophe Thomas, Président du Groupe Pénélope

  Lundi 19 Avril 2021

  

  En 2020, les métiers de l’accueil ont été parmi les premiers à être impactés par les nouvelles réalités imposées par le Coronavirus.

  Parce ce que ces derniers mois ont absolument tout changé dans notre façon de percevoir les interactions humaines, il nous a semblé essentiel de nous interroger sur la façon dont les fonctions et les métiers de l’accueil ont dû évoluer depuis le début de la crise. Des évolutions sur le plan de la formation des hôtes et hôtesses, sur les équipements tenus à leur disposition, ou encore sur leur attitude, mais pas seulement!

  Des transformations organisationnelles profondes ont été amorcées depuis l’annonce du premier confinement. Depuis la gestion des absences, en passant par la nécessaire adaptation des stratégies de recrutement en vue de garantir la continuité de l’accueil dans les entreprises ou encore l’adoption d’outils digitaux pour améliorer la qualité et la sécurité des interactions humaines, nous avons voulu mieux comprendre et mesurer comment les entreprises ont vécu ces changements sociétaux historiques.

   

  L'état des lieux de la situation montre qu’entre résilience, flexibilité et adaptabilité, les métiers de l’accueil ont répondu présents !

  La fonction accueil a globalement été à la hauteur de l’enjeu sanitaire, démontrant ainsi non seulement le pragmatisme, mais aussi le professionnalisme d’hôtes et d’hôtesses confrontés à une situation à la fois contraignante et inquiétante. Placés en première ligne dès les premières semaines de la pandémie, ils n’ont jamais failli et ont été à la hauteur des transformations qui

  

  En 2020, les métiers de l’accueil ont été parmi les premiers à être impactés par les nouvelles réalités imposées par le Coronavirus.

  Parce ce que ces derniers mois ont absolument tout changé dans notre façon de percevoir les interactions humaines, il nous a semblé essentiel de nous interroger sur la façon dont les fonctions et les métiers de l’accueil ont dû évoluer depuis le début de la crise. Des évolutions sur le plan de la formation des hôtes et hôtesses, sur les équipements tenus à leur disposition, ou encore sur leur attitude, mais pas seulement !

  Des transformations organisationnelles profondes ont été amorcées depuis l’annonce du premier confinement. Depuis la gestion des absences, en passant par la nécessaire adaptation des stratégies de recrutement en vue de garantir la continuité de l’accueil dans les entreprises ou encore l’adoption d’outils digitaux pour améliorer la qualité et la sécurité des interactions humaines, nous avons voulu mieux comprendre et mesurer comment les entreprises ont vécu ces changements sociétaux historiques.

  L'état des lieux de la situation montre qu’entre résilience, flexibilité et adaptabilité, les métiers de l’accueil ont répondu présents !

  La fonction accueil a globalement été à la hauteur de l’enjeu sanitaire, démontrant ainsi non seulement le pragmatisme, mais aussi le professionnalisme d’hôtes et d’hôtesses confrontés à une situation à la fois contraignante et inquiétante. Placés en première ligne dès les premières semaines de la pandémie, ils n’ont jamais failli et ont été à la hauteur des transformations qui pesaient sur leurs pratiques.

  Un tiers des répondants déclarent que la crise de la Covid-19 aura constitué un moteur pour faire évoluer leur pratique en matière d’accueil essentiellement sur les normes sanitaires : mise à disposition de gel hydroalcoolique, déploiement d’un marquage au sol, adoption d’un sens de circulation.

  Mais l’enseignement-clé qui découle de la situation sanitaire, au-delà de la nécessité d’assurer la qualité et la disponibilité de l’accueil dans les entreprises, c’est le besoin de réactivité et de flexibilité. Gestion d’absences prévues ou inopinées, formations, recrutement… l’externalisation des métiers de l’accueil constitue une promesse d’efficacité et de performance.

  Lire la suite Réduire