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Pour faire face aux nouveaux modes de travail et aux nouvelles attentes des collaborateurs, tout commence au rez-de-chaussée du bâtiment. Trop souvent sous-estimé…

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Pour faire face aux nouveaux modes de travail et aux nouvelles attentes des collaborateurs, tout commence au rez-de-chaussée du bâtiment. Trop souvent sous-estimé ou sous-exploité, cet espace est pourtant le miroir d’une société, un lieu d’accueil et de rencontres qui n’a rien d’accessoire. Il doit s’imposer comme un milieu ouvert, propice aux échanges, à la convivialité et aux services (conciergerie, café-coworking, réception de colis personnels, etc.). Zone de passage obligatoire, il doit être la première source de baisse de la charge mentale du collaborateur qui y vit une expérience dès l’entrée dans le bâtiment. Pour l’animer et garantir son efficacité, de nouveaux métiers émergent, à l’instar de l’hospitality manager…

Imaginé par Amaury Piquiot, le S’Cool Bus fait sa rentrée dans l’agglomération Seine-Eure avec des ramassages scolaires en vélo collectif. Il permet d’accueillir huit e…

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Imaginé par Amaury Piquiot, le S’Cool Bus fait sa rentrée dans l’agglomération Seine-Eure avec des ramassages scolaires en vélo collectif. Il permet d’accueillir huit enfants, tous équipés d’un pédalier individuel. Cela leur permet d’aller à leur rythme, tout en étant en bonne compagnie. Amusés et actifs plutôt qu’endormis sur la banquette arrière, ils tirent aussi les bénéfices de cet exercice physique une fois arrivés en classe. Sans pour autant être épuisés : une assistance électrique leur facilite la tâche. En 2018, trois lignes de ramassage scolaire ont permis d’épargner près de 8 tonnes de CO2 à l’atmosphère. Depuis janvier 2019, dix lignes sont désormais présentes dans l’agglomération Seine-Eure…

Une étude, publiée par l’institut de sondage Yougov, se penche sur la pause déjeuner des salariés français qui considèrent majoritairement (83%) que c’est un moment imp…

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Une étude, publiée par l’institut de sondage Yougov, se penche sur la pause déjeuner des salariés français qui considèrent majoritairement (83%) que c’est un moment important de leur journée. 30% disent en profiter pour aller sur les réseaux sociaux, 23% pour se détendre ou faire une sieste, 21% pour gérer des tâches personnelles, et 16% pour s’avancer dans leur travail. Rappelons que ces dernières décennies, la pause déjeuner n’a cessé de se réduire comme peau de chagrin. Alors que l’on passait 1h38 autour de la table chaque midi en 1975, les salariés français ne prennent désormais plus que 38 minutes de pause en moyenne…

Pour la 1ère fois, L’Argus s’est intéressé aux principales caractéristiques des véhicules d’entreprise avec une nouvelle catégorie nommée «voiture moyenne des socié

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Pour la 1ère fois, L’Argus s’est intéressé aux principales caractéristiques des véhicules d’entreprise avec une nouvelle catégorie nommée «voiture moyenne des sociétés». Ses paramètres diffèrent largement de ceux de la voiture moyenne de France et même de ceux de la voiture moyenne des particuliers. Voici le portrait-robot de la voiture moyenne des parcs d’entreprise : le prix d’achat est de 30 772 €, la puissance 126 chevaux, la dimension 4,33 m pour 1.325 kg et la consommation 4,6 l/100 km. En résumé, les voitures en parc sont plus «haut de gamme» que la voiture moyenne de France. Par ailleurs, les flottes restent très attachées au diesel puisque 78 % des ventes ont concerné ce type de motorisation l’an dernier…

La France et l’Allemagne ont mis un coup d’accélérateur à leur projet de consortium européen de batteries de voitures électriques, auquel Bruxelles a donné son accord de principe, jugeant urgent de combler le retard de l’Euro

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La France et l’Allemagne ont mis un coup d’accélérateur à leur projet de consortium européen de batteries de voitures électriques, auquel Bruxelles a donné son accord de principe, jugeant urgent de combler le retard de l’Europe face à la Chine. Actuellement, seul 1% de la production mondiale de cellules lithium-ion émane de l’Union européenne, alors que le marché mondial des batteries auto pourrait atteindre 45 milliards d’euros en 2027, dont 20 % à 30 % en Europe. Le projet prévoit d’investir 5 à 6 milliards d’euros, ce qui devrait déboucher sur la construction d’ici 2020 d’une usine pilote de 200 emplois en France, puis d’ici 2023 de 2 usines de production, l’une en France, l’autre en Allemagne, susceptibles de créer 1.500 emplois chacune…