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Prévu par le décret Tertiaire de juillet 2019 relatif aux obligations d’actions de réduction de la consommation d’énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire, l’arrêté dit Valeurs absolues II…

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Prévu par le décret Tertiaire de juillet 2019 relatif aux obligations d’actions de réduction de la consommation d’énergie finale dans des bâtiments à usage tertiaire, l’arrêté dit Valeurs absolues II est paru, le 24 avril, au Journal officiel. Cet arrêté complète les niveaux de consommations d’énergie finale, fixés en valeur absolue, à respecter en 2030 pour certaines activités des bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m2, en métropole. Les propriétaires et les exploitants de tels bâtiments ont le choix dans leurs obligations de performance énergétique. Ils peuvent, d’une part, améliorer la performance énergétique du bâtiment par rapport à une année de référence (postérieure à 2010), en atteignant, par rapport à cette consommation de référence, -40% en 2030, -50% en 2040 et -60% en 2050…

Selon des chercheurs de la NASA, le sud de l’Asie, le golfe persique comme l’Iran ou le Koweït, les pays bordant la mer Rouge tel que l’Égypte, l’Arabie Saoudite, l’Éth…

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Selon des chercheurs de la NASA, le sud de l’Asie, le golfe persique comme l’Iran ou le Koweït, les pays bordant la mer Rouge tel que l’Égypte, l’Arabie Saoudite, l’Éthiopie, la Somalie ou le Yémen, pourraient être touchés d’ici 2050, par des températures qui rendront ces zones invivables pour l’être humain à cause du changement climatique. Ils ont pris en compte à la fois l’indice de température de l’air, le heat index mais aussi l’indice de température du « thermomètre mouillé ». Ce dernier est particulièrement important car largement sous-estimé. S’il est trop élevé, l’humidité empêche la transpiration nécessaire pour se refroidir. À plus de 35°C, cela pourrait être fatal car la transpiration ou tout autre comportement adaptatif ne suffit pas à ramener le corps à une température de fonctionnement sûre…

 

Ce plan représente un investissement d’environ 2 à 3 milliards d’euros «cofinancés dans le cadre de partenariats industriels et bénéficiant des mécanismes de s…

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Ce plan représente un investissement d’environ 2 à 3 milliards d’euros «cofinancés dans le cadre de partenariats industriels et bénéficiant des mécanismes de soutien nationaux et européens», a précisé EDF. Le groupe compte étendre son parc de production d’électricité bas carbone -nucléaire et renouvelable- pour générer de l’hydrogène par processus d’électrolyse de l’eau au travers de sa filiale dédiée Hynamics. «Trois gigawatts (GW) permettront chaque année de produire 450.000 tonnes d’hydrogène et d’économiser 3 millions de tonnes de carbone ce qui représente la moitié du trafic maritime. Nous visons à produire un hydrogène 100% bas carbone.» explique le groupe. Aujourd’hui, l’essentiel des 80 millions de tonnes d’hydrogène produites dans le monde le sont à partir de combustibles fossiles et surtout de gaz…

Il est temps d’agir et rapidement. C’est le message envoyé par le Giec dans son dernier rapport, qui estiment que malgré les promesses « creuses », le monde a encore…

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Il est temps d’agir et rapidement. C’est le message envoyé par le Giec dans son dernier rapport, qui estiment que malgré les promesses « creuses », le monde a encore une chance d’éviter le pire. Pour cela, il faut transformer radicalement l’économie et faire plafonner les émissions d’ici moins de trois ans, en commençant par se désintoxiquer des énergies fossiles. Le troisième volet de la trilogie scientifique des experts climat de l’ONU (Giec) publié lundi 4 avril ne laisse pas de place au doute : sans une réduction « rapide, radicale et le plus souvent immédiate » des émissions de gaz à effet de serre dans tous les secteurs, il ne sera pas possible de limiter le réchauffement à +1,5°C ni même à +2°C. Les experts de l’ONU consacrent également un chapitre entier à la demande, estimant qu’agir sur ce levier pourrait réduire les émissions de 40 à 70% d’ici à 2050 …

Malgré l’explosion des usages numériques, le poids des « data centers » dans la consommation énergétique mondiale reste globalement stable (1%) sur la dernière décennie,…

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Malgré l’explosion des usages numériques, le poids des « data centers » dans la consommation énergétique mondiale reste globalement stable (1%) sur la dernière décennie, selon une étude récente réalisée par l’Agence internationale de l’énergie. Le secret ? Une prise de conscience commune à tous les acteurs ainsi qu’une accélération des engagements portés par l’innovation. C’est le cas de Microsoft qui a installé son data center en mer d’Ecosse avec pour résultats : un taux de défaillance moins élevé qu’à l’accoutumée pour les 864 serveurs enfermés en son sein, grâce à l’absence d’oxydation et surtout une cuve alimentée à 100% par les énergies renouvelables et dont le refroidissement, assuré par l’eau de mer, ne nécessite quasiment pas d’électricité supplémentaire. Il est aussi question d’innovation chez Scaleway. À Saint-Ouen-l’Aumône, le DC5, data center de 16.000 mètres carrés, fonctionne grâce à un système d’échange entre eau et air refroidi sans système de refroidissement…