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Sur nos lieux de travail, encore trop peu d’établissements proposent une poubelle spécifique pour le tri des emballages alors que le secteur tertiaire génère plus de…

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Sur nos lieux de travail, encore trop peu d’établissements proposent une poubelle spécifique pour le tri des emballages alors que le secteur tertiaire génère plus de 20 millions de tonnes de déchets chaque année. Et pourtant, plusieurs décrets les obligent à mettre en place des dispositifs permettant aux usagers de trier leurs déchets pour les valoriser. Rares sont ceux qui sont en complète conformité, plus par omission que par volonté farouche de ne pas la respecter. Il est temps de changer de référentiel et de passer de la logique purement logisticienne à une approche volontariste. Le déchet, une fois généré, est trop souvent caché, loin des regards, et sommé de disparaître, vite. Là encore, il est question d’assumer le déchet qu’on produit…

L’impact du numérique sur l’environnement ne cesse de croître. Il pèserait à hauteur de 1% des émissions mondiales de gaz à effets de serre -2% en France- et…

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L’impact du numérique sur l’environnement ne cesse de croître. Il pèserait à hauteur de 1% des émissions mondiales de gaz à effets de serre -2% en France- et se rapproche de celui du trafic aérien qui se hisse à 3%. Il y a donc urgence. Le secrétaire d’Etat au numérique et la ministre de la Transition écologique lancent aujourd’hui une feuille de route. Le premier axe va consister à «objectiver et quantifier l’empreinte numérique» Deuxième priorité, l’allongement de la durée de vie des appareils en incitant à leur réparation, au réemploi et à lutter contre l’obsolescence programmée. Le principe de l’éco-conception doit également être généralisé auprès des entreprises via la mise en place d’un bonus/malus et d’une Charte Numérique Responsable… (Cf. Info Amélie Charnay – 01net)

En pariant sur l’hydrogène «décarboné» la France veut bâtir une filière créatrice d’emplois, verdir plusieurs secteurs industriels et développer une mobilité s…

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En pariant sur l’hydrogène «décarboné» la France veut bâtir une filière créatrice d’emplois, verdir plusieurs secteurs industriels et développer une mobilité sans émission. Il reste toutefois des progrès à faire pour rendre cette énergie compétitive. Pour des questions de coût notamment. La production d’hydrogène par électrolyse reste, à 3 ou 4 euros du kg, deux fois gplus chère que la production par vaporeformage. Quant à la pile à combustible, indispensable à la mobilité, il faudra encore diviser son prix par quatre ou cinq et même par dix, disent les plus pessimistes. Au CEA on espère réduire le coût de production de l’hydrogène, proche d’1 euro du kg d’ici 4 ou 5 ans, grâce à une nouvelle technologie : l’électrolyse à haute température…

La start-up Deepki a analysé la consommation de plus de 3.500 bâtiments avant et durant la pandémie du Covid-19. Il apparaît que durant le confinement une fort…

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La start-up Deepki a analysé la consommation de plus de 3.500 bâtiments avant et durant la pandémie du Covid-19. Il apparaît que durant le confinement une forte proportion de bâtiments tertiaires a continué de consommer comme s’ils étaient pleinement occupés. En effet, 40% des sites sont mal pilotés, pas programmés et ont consommé comme si de rien n’était. Ce qui, selon Deepki, représentait 123.000 euros de dépenses inutiles par semaine. Face à ce constat, il convient d’établir un véritable monitoring énergétique des bâtiments tertiaires et d’agir selon ces informations. Ce qui se traduit notamment par l’existence ou l’installation d’une GTB permettant de programmer le chauffage, la ventilation, la climatisation, l’éclairage, etc…

Le monde a perdu plus des 2/3 de ses populations d’animaux sauvages depuis 1970, principalement à cause de l’activité humaine, avertit le Fonds mondial pour la…

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Le monde a perdu plus des 2/3 de ses populations d’animaux sauvages depuis 1970, principalement à cause de l’activité humaine, avertit le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe les dangers de cet effondrement pour l’avenir de l’humanité. Car depuis 50 ans, «notre monde a été transformé par une explosion du commerce mondial, de la consommation et de la croissance de la population humaine». S’y ajoutent les effets attendus du réchauffement climatique, qui modifie lui aussi les habitats naturels et met jusqu’à 20% des espèces sauvages en danger d’extinction. Toutefois, selon l’étude «Infléchir la courbe», il est possible d’enrayer le déclin de la biodiversité par plusieurs actions combinées, qui passent par un changement de nos modes de vie…