Facilities

La Poste Immobilier, la foncière du groupe postal, vient de racheter Multiburo, spécialiste français du coworking. Créé en 1985, cet expert d’espaces…

...

La Poste Immobilier, la foncière du groupe postal, vient de racheter Multiburo, spécialiste français du coworking. Créé en 1985, cet expert d’espaces de travail flexibles possède au total 23 lieux de coworking, dont plusieurs implantés au cœur des principaux quartiers d’affaires de Paris, Bruxelles, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse, Anvers et Genève…. Multiburo est également partenaire de Grand Voyageur (SNCF). Le réseau propose ainsi, aux membres du programme de la SNCF, des remises sur les salles de réunions ou des tarifs préférentiels dans les espaces de coworking. A l’horizon 2027, La Poste Immobilier souhaite disposer d’un maillage de plus d’une centaine de sites de co-working, et devenir ainsi un acteur européen majeur sur le marché…

À l’échelle nationale, au premier semestre 2022, le montant global des investissements en immobilier d’entreprise atteint 11,5 Mds€, soit une hausse de 30 % par rap…

...

À l’échelle nationale, au premier semestre 2022, le montant global des investissements en immobilier d’entreprise atteint 11,5 Mds€, soit une hausse de 30 % par rapport au S1 2021, selon les chiffres compilés par ImmoStat, réunissant BNP Paribas Real Estate, CBRE, JLL,et Cushman& Wakefield. En Île-de-France, sur les 6 premiers mois de l’année, le montant global des investissements en immobilier d’entreprise atteint 7,3 Mds€ (+29 %). La demande placée de bureaux en IdF s’élève à 1.008 400 m², soit une hausse de 24 % par rapport au S1 2021. Le T2 2022 totalise 496 800 m² (+9 %). Sur la base des transactions ayant eu lieu au cours du trimestre, le loyer facial des bureaux atteint en moyenne : 423 € HT HC/m²/an pour les biens de seconde main, soit une hausse de 4 % sur un an ; 431 € HT HC/m²/an pour les biens neufs ou restructurés, soit une hausse de 2 % sur un an…

Une récente étude réalisée par le cabinet Xerfi Precepta, met en lumière la bonne tenue du marché du co-working en France, et ses…

...

Une récente étude réalisée par le cabinet Xerfi Precepta, met en lumière la bonne tenue du marché du co-working en France, et ses perspectives de développement à court terme. Le chiffre d’affaires (panel Xerfi) devrait ainsi bondir de 25% en 2022 puis de 10% par an d’ici 2024 avec des surfaces exploitées par les leaders qui devraient doubler entre 2019 et 2024 à plus de 700.000 m². Le modèle de bureau opéré (ou clé en mains) s’impose comme la nouvelle norme. Dans ce dernier, l’opérateur décharge le propriétaire des aspects opérationnels (commercialisation, animation, gestion courante du site). Pour l’utilisateur, c’est un bon moyen de s’engager sur des périodes plus courtes et d’ajuster facilement les espaces à la hausse ou à la baisse. Malgré des ouvertures en Ile-de-France, la croissance en régions sera à l’origine de l’essentiel du doublement des surfaces de coworking d’ici 2024…

ont été commercialisés sur les 17 principaux marchés européens  au premier trimestre, en hausse de 41% par rapport à la même période en 2021 selon les dernières donné…

...

ont été commercialisés sur les 17 principaux marchés européens  au premier trimestre, en hausse de 41% par rapport à la même période en 2021 selon les dernières données publiées par BNP Paribas Real Estate. Les volumes du trimestre renouent ainsi avec les moyennes de long-terme (2,14 millions de m²). De son côté, la demande placée a enregistré une forte progression : +42% par rapport au T1 2021. Grâce à ce rebond, les volumes du trimestre ont atteint les moyennes de long-terme sur de nombreux marchés. L’activité locative a particulièrement rebondi à Dublin (+841% vs le T1 2021), Varsovie (+167%) et « Central London » (+132%), alors que Bruxelles et Amsterdam ont connu un début d’année plus calme avec respectivement -32% et -39%.

L’architecte Jean-Paul Viguier, grand spécialiste des sièges sociaux qui vient de livrer ceux de Vinci et d’Orange, explique comment l’immobilier de bureau est passé du…

...

L’architecte Jean-Paul Viguier, grand spécialiste des sièges sociaux qui vient de livrer ceux de Vinci et d’Orange, explique comment l’immobilier de bureau est passé du « sur-mesure » au « prêt-à-porter ». La pandémie a changé beaucoup de choses, notamment il n’y a plus un bureau unique mais des espaces de travail. On travaille depuis le train, chez soi, à la maison, sur son lieu de vacances. Cette nouvelle manière de faire transforme aussi le logement. La pièce en plus était un sujet, c’est devenu une urgence. Enfin, on ne dissocie plus l’immeuble de bureau de son quartier, et sa proximité avec les transports en commun et les lieux d’habitation est devenue essentielle. De mon point de vue, cette dispersion des lieux de travail ne signe pas la fin du siège social qui reste la vitrine de l’entreprise mais la manière de le concevoir a, en revanche, profondément évolué. Aujourd’hui, la ville pénètre ces immeubles…