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Malgré les difficultés qu’il engendre, notamment dans les interactions sociales, le télétravail est désormais perçu comme un « acquis » par les cadres. Selon une nouvel…

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Malgré les difficultés qu’il engendre, notamment dans les interactions sociales, le télétravail est désormais perçu comme un « acquis » par les cadres. Selon une nouvelle étude de l’Apec, 7 cadres sur 10 jugent que le télétravail présente plus d’avantages que d’inconvénients. Un retour en arrière sur ce sujet serait ainsi mal vécu. Près de la moitié des cadres (45 %) déclarent même qu’ils démissionneraient de leur entreprise si l’accès au télétravail était supprimé. Cette pratique leurs permet d’organiser leurs tâches en fonction du lieu de travail, favorisant le travail sur site pour les tâches collectives (61 %) et optant davantage pour le travail à domicile pour les tâches individuelles (51 %). Ils pointent toutefois certains points de vigilance comme une moindre intégration des nouveaux salariés dans l’équipe (48 %), un brouillage des frontières entre vie personnelle et professionnelle (40 %) ou encore la peur de rater des communications importantes (39 %)…

Depuis sa mise en place, en 2019, et « malgré des avancées indéniables (…), l’index français n’a pas rempli toutes ses promesses » dans la réduction d…

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Depuis sa mise en place, en 2019, et « malgré des avancées indéniables (…), l’index français n’a pas rempli toutes ses promesses » dans la réduction des écarts de genre et de leurs causes, estime le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE), dans un rapport rendu public ce jour et remis à la ministre du travail, Catherine Vautrin. Si plus de 35 000 entreprises y sont assujetties – soit 1 % du total des sociétés de l’Hexagone –, 18 470 déclarent être en mesure de le calculer effectivement. En effet, pour procéder à des comparaisons pertinentes, les genres et les âges doivent être suffisamment représentés en nombre dans chaque catégorie socioprofessionnelle. Pas question, pour autant, de supprimer cet index mais plutôt travailler à une seconde version plus ambitieuse qui améliore la couverture des entreprises concernée …

La France continue de faire mieux que les autres pays en matière d’égalité professionnelle dans les grandes entreprises, montre l’édition 2024 du baromètre d’Equileap…

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La France continue de faire mieux que les autres pays en matière d’égalité professionnelle dans les grandes entreprises, montre l’édition 2024 du baromètre d’Equileap dont « Les Echos » publient les résultats en exclusivité. La législation française contraignante explique en grande partie ces bons résultats. L’histoire n’est pas écrite, mais la législation, encore une fois, devrait conduire les entreprises françaises à progresser dans les prochaines années en matière d’égalité professionnelle pour deux raisons. La première est la révision à venir de l’index d’égalité , en relation avec la transposition de la nouvelle directive européenne. La seconde est la loi dite Rixain votée en 2021 qui va imposer de féminiser les organes de direction des entreprises…

 

Alors que les dirigeants d’entreprise ne cachent plus leur désir de faire revenir les salariés au bureau, certains la jouent cash Outre-Manche et Atlantique e…

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Alors que les dirigeants d’entreprise ne cachent plus leur désir de faire revenir les salariés au bureau, certains la jouent cash Outre-Manche et Atlantique en proposant à leurs salariés de toucher des primes au présentiel. Vouloir “acheter” la venue des collaborateurs au bureau pose un autre problème. Cela ne sous-entendrait-il pas que venir au bureau, c’est terrible ? “Je pense que les collaborateurs seraient moins insatisfaits à court terme mais à moyen terme, je ne crois pas que cela pourrait marcher car l’argent est un levier de motivation éphémère. De plus, en face, cette insatisfaction créerait une incompréhension de la part des dirigeants. Tout le monde serait perdant”, précise Sandrine Dorbes, spécialiste des questions de rémunération. Elle insiste sur le fait que la rémunération n’est pas qu’un sujet technique, mais avant tout un sujet émotionnel…

On mesure la force d’une nation à bien des critères. Il en est un auquel on ne prête pas assez attention, qui est pourtant essentiel : la capacité à garder et attirer…

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On mesure la force d’une nation à bien des critères. Il en est un auquel on ne prête pas assez attention, qui est pourtant essentiel : la capacité à garder et attirer les talents. Selon le classement fourni depuis 2013 par l’INSEAD. Les Etats-Unis se classent au 4^e rang, suivis de plusieurs pays d’Europe du Nord tels que la Suède (5^e), les Pays-Bas (6^e), la Norvège (7^e) et la Finlande (8^e). Viennent ensuite l’Australie (9^e), le Canada (15^e) et la Nouvelle-Zélande (18^e). Et la France n’est qu’au 19^e rang. Plus généralement, et contrairement à ce qu’on claironne ici ou là, la France n’attire ni les investissements étrangers (moitié moins que l’Allemagne), ni les artistes, ni les chercheurs, ni aucun de ceux qui peuvent faire bouger un pays. Dans un monde où, par nature, les talents sont de plus en plus nomades, ce classement évoluera bientôt beaucoup plus vite…