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Selon l’étude «Horizons 2030, des restaurants en transition », réalisée par Socio Vision pour le Geco Food Service, 64 % des consommateurs  se déclarent en quê…

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Selon l’étude «Horizons 2030, des restaurants en transition », réalisée par Socio Vision pour le Geco Food Service, 64 % des consommateurs  se déclarent en quête de propositions écoresponsables.  « Pour les entreprises du food service, il s’agit à la fois de proposer un accompagnement aux pratiques de la transition écologique, de déployer des solutions issues de l’économie circulaire et ainsi s’assurer que la restauration reste dans la course » souligne Laurent Repelin, président du Geco Food Service. « En ce moment nos entreprises sont dans une situation de contraintes vis-à-vis de ces nombreux défis. Mais ce sont des sujets vitaux pour elles. Les engagements de neutralité carbone sont impulsés par les directions générales et les actionnaires » complète Michel Sanson qui prendra la présidence de l’association en juin prochain…

Selon une étude commandée à Sociovision par l’association Geco Food Service – qui regroupe les entreprises fournissant les marchés de la consommation hors domicile, l…

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Selon une étude commandée à Sociovision par l’association Geco Food Service – qui regroupe les entreprises fournissant les marchés de la consommation hors domicile, le restaurant de 2030 devra s’adapter à l’augmentation des publics âgés ou solos et où, côté cuisine, il sera crucial d’être équipés en appareils moins énergivores et multiplier les gestes anti gaspillage. La digitalisation de la société va pousser à banaliser les lieux automatisés et à multiplier les concepts dans lesquels les consommateurs font beaucoup de choses eux-mêmes. Le client sera plus autonome, y compris dans son paiement. Et l’IA contribuera à une meilleure gestion des stocks. Parmi les autres évolutions figurent la dimension environnementale et l’écoresponsabilité. Les approvisionnements en circuits courts, déjà à l’oeuvre, devraient s’accélérer comme la recomposition des assiettes, avec une place encore accrue donnée au végétal…

La nouvelle édition du baromètre Food (pour Fighting Obesity through Offer and Demand) analyse les habitudes des salariés et les pratiques des restaurateurs autour…

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La nouvelle édition du baromètre Food (pour Fighting Obesity through Offer and Demand) analyse les habitudes des salariés et les pratiques des restaurateurs autour de la pause-déjeuner. Elle met en lumière une tendance nouvelle : l’attachement des salariés aux solutions de type Ticket restaurant pour faire face à la hausse de leurs dépenses alimentaires. 82% des Français interrogés déclarent que sans eux, ils perdraient du pouvoir d’achat. Un tiers déclare d’ailleurs avoir utilisé son solde « longtemps avant la fin du mois ». En parallèle, 47% des restaurateurs français interrogés constatent une baisse de fréquentation. Le titre restaurant représente alors un bouclier. Enfin, la lutte contre le gaspillage apparaît également commune une préoccupation majeure, avec 98% des Français se disant désormais attentifs au sujet…

Une étude commandée par l’Institut Danone au Crédoc vient documenter les conséquences du travail à distance sur le comportement alimentaire.  Il ressort qu’en télétr…

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Une étude commandée par l’Institut Danone au Crédoc vient documenter les conséquences du travail à distance sur le comportement alimentaire.  Il ressort qu’en télétravail, on déjeune davantage seul (72 % des répondants) que lorsqu’on est au bureau (12 %). La durée de la pause déjeuner est plus courte lorsqu’on travaille depuis chez soi : moins de 20 minutes pour 38 % des salariés interrogés. Alors qu’au bureau, seuls 18 % y consacrent moins de 20 minutes. Le repas est simplifié avec pour plus de 40 % des salariés interrogés une diminution des composantes (entrée, plats, fromages, dessert) du repas et de la diversité. On relève aussi davantage de grignotages (+8 %), avec notamment le chocolat qui est beaucoup plus consommé en télétravail (+22 %).  En clair, on mange plus mal, trop vite et le lien social se délite…

Le titre-restaurant est passé de 11,84 à 13 euros au 1er janvier. Une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat. L’avantage préféré des Français – devant la voiture de…

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Le titre-restaurant est passé de 11,84 à 13 euros au 1er janvier. Une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat. L’avantage préféré des Français – devant la voiture de fonction – a pourtant ses travers dont 700 millions d’euros par an de titres perdus, périmés, non consommés. Selon une étude Selvitys, 35,38 % des sondés disposaient encore à fin novembre dernier de 100 à 300 euros sur leur carte restaurant (contre 31 % en 2021) et 6,8 % de 300 à 600 euros. En cause, le plafonnement quotidien du titre, le télétravail et les problèmes d’acceptation chez les commerçants. Mais l’innovation technologique pourrait corriger cela avec une tendance à rassembler tous les avantages dont peuvent bénéficier les salariés sur une même carte et à débiter les bénéficiaires en temps réels et leurs éviter au salarié de se retrouver avec des titres périmés…