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La vague de chaleur extrême que connaît une partie de l’Europe n’est pas sans conséquence pour les travailleurs. En Espagne, 2 employés sont morts la semaine à Madrid,…

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La vague de chaleur extrême que connaît une partie de l’Europe n’est pas sans conséquence pour les travailleurs. En Espagne, 2 employés sont morts la semaine à Madrid, victimes d’un coup de chaleur en travaillant. Au Royaume-Uni, le syndicat GMB a demandé qu’une loi « trop chaud pour travailler » soit adoptée afin de protéger les ouvriers contre les températures caniculaires. En France, la loi ne fixe pas de température maximale autorisée sur le lieu de travail. Toutefois, elle exige des employeurs qu’ils s’assurent que les salariés puissent travailler dans des conditions sûres. Un article du code du travail oblige les employeurs du secteur de la construction à fournir à leurs travailleurs au moins 3 litres d’eau par jour. Une autre disposition permet à un salarié d’interrompre sa journée, s’il craint un danger immédiat pour sa vie…

 

 

Ils ne sont que treize. Treize agents en Île-de-France au sein du Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps),…

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Ils ne sont que treize. Treize agents en Île-de-France au sein du Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), pour contrôler et réguler l’ensemble des professionnels et des entreprises du secteur de la sécurité privée sur toute la région parisienne. « Autant dire qu’il y a d’immenses trous dans la raquette », reconnaît l’un des contrôleurs en poste dans cette instance sous tutelle du ministère de l’Intérieur. Impossible donc de contrôler plus de 1600 établissements (4500 si on y inclut les autoentrepreneurs) et 80 000 professionnels. Pierre Brajeux, vice-président de la FFSP attire l’attention sur les employés à la sécurité incendie : « Eux aussi sont sur tous les sites sensibles et ne subissent absolument aucun contrôle », soulignant le fait que ce personnel est le seul à n’avoir pas besoin d’obtenir une carte professionnelle délivrée par le CNAPS après une enquête de moralité et une formation…

La Société du Grand Paris a attribué au groupement formé par Eiffage Énergie Systèmes (mandataire) et Vinci Energies, le contrat pour la fourniture, l’installation et l…

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La Société du Grand Paris a attribué au groupement formé par Eiffage Énergie Systèmes (mandataire) et Vinci Energies, le contrat pour la fourniture, l’installation et la maintenance du réseau multi-services et des systèmes de surveillance des espaces de l’ensemble de la ligne 18 du Grand Paris Express (35 km de voies, 10 gares et une inter-station de 8 km, entre l’aéroport d’Orly à la gare Versailles Chantiers). Le contrat, d’un montant de 60 millions d’euros, prévoit : la mise en place du réseau multi-services de la ligne ; la création des systèmes de surveillance des espaces avec la fourniture des systèmes de vidéosurveillance, de contrôle d’accès et de détection d’intrusions, de téléphonie et d’interphonie sur le tracé de la ligne et embarqués dans les rames…

À l’instar de Danone, dont le patron sûreté, Bernard Galéa, a pris la direction du leader français de l’intelligence économique (Adit) et qui a été remplacé par le directeur des opérations de la DGSE…

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À l’instar de Danone, dont le patron sûreté, Bernard Galéa, a pris la direction du leader français de l’intelligence économique (Adit) et qui a été remplacé par le directeur des opérations de la DGSE, Pierre Liot de Norbécourt, plusieurs groupes du CAC 40 sont actifs dans ce mercato sécuritaire. C’est une recrue de choix qui débarque à l’Adit. Bernard Galéa, sera chargé du développement à l’international et siègera au Comex. Son successeur est un autre maître-espion, il s’agit du général Pierre Liot de Norbécourt, directeur des opérations de la DGSE, passé par le très secret 13e régiment de dragons parachutistes (RDP). Il est remplacé boulevard Mortier (siège de la DGSE) par Corentin Lancrenon, précédemment chef du bureau réservé du cabinet de Florence Parly…

Deux ans d’épidémie de Covid-19 ont fait monter l’anxiété dans les entreprises. Absentéisme, burn-out, peur de tomber malade, l’inquiétude des salariés a franchi un cap…

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Deux ans d’épidémie de Covid-19 ont fait monter l’anxiété dans les entreprises. Absentéisme, burn-out, peur de tomber malade, l’inquiétude des salariés a franchi un cap avec la conjugaison des crises sanitaire et économique. Deux majors de la protection sociale, Malakoff Humanis et Apicil, ont dévoilé coup sur coup deux études sur les nouveaux besoins exprimés par les salariés et les chefs d’entreprise dont 63% sont préoccupés par la santé mentale et physique des collaborateurs. Tenu en vertu des obligations légale de garantir la santé de ses salariés, l’employeur peut agir en prenant  des mesures de prévention, de formation et d’information. Ainsi 40% des chefs d’entreprise interrogés envisagent d’élargir les contrats de prévoyance de l’entreprise au burn-out et à la dépression. Mais ils souhaitent aussi des garanties supplémentaires…