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Dans le flou qui demeure sur la fiscalité automobile qui s’appliquera dès le 1er janvier 2025, certaines évolutions sont déjà actées à l’instar de l’extension du malus…

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Dans le flou qui demeure sur la fiscalité automobile qui s’appliquera dès le 1er janvier 2025, certaines évolutions sont déjà actées à l’instar de l’extension du malus au poids aux véhicules hybrides rechargeables ou de l’application d’une nouvelle grille pour la taxe annuelle sur les émissions de CO2 (ex-TVS). Mais l’incertitude demeure quant à l’évolution attendue du malus CO2, malus au poids ou encore des avantages en nature. Bien que rejeté par les députés fin octobre, le durcissement des malus CO2 et malus au poids pourrait bien intervenir tel que prévu dans le projet de loi de finances pour 2025. Selon l’article 8 du PLF 2025, le malus écologique sera une nouvelle fois durci avec une trajectoire 2025-2027 définie par avance…

 

 

Selon la note de France Stratégie, qui porte sur les grandes métropoles, le télétravail a conduit à réduire la fréquentation des transports en commun, à Paris comme à L…

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Selon la note de France Stratégie, qui porte sur les grandes métropoles, le télétravail a conduit à réduire la fréquentation des transports en commun, à Paris comme à Lyon, Toulouse ou Rennes, surtout les lundis, mercredis et vendredis, et aux heures de pointe. Par ailleurs, concernant les déplacements longue en train, qu’il s’agisse du TGV ou des Intercités, les déplacements professionnels n’ont pas encore retrouvé leur niveau d’avant 2019, « probablement en lien avec une baisse de la mobilité subie grâce notamment au développement des visioconférences ». L’analyse note dans le même temps des répercussions financières pour les opérateurs. En effet, à partir de trois jours de télétravail, est observée une réduction des achats d’abonnement par les usagers…

Le Mondial de l’Auto 2024 a fait figure de parenthèse enchantée et l’avenir semblait radieux pour la voiture. Mais en l’espace de quelques semaines, les mauvai…

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Le Mondial de l’Auto 2024 a fait figure de parenthèse enchantée et l’avenir semblait radieux pour la voiture. Mais en l’espace de quelques semaines, les mauvaises nouvelles se succèdent, entre la 6ᵉ baisse mensuelle d’affilée des immatriculations, les fermetures d’usines, les réglementations toujours plus strictes et la concurrence chinoise. Comment dans ces circonstances envisager sérieusement un avenir enchanté pour la voiture ? Toutes les études prouvent que les Français ont plus que jamais besoin de leurs véhicules et qu’ils ne sont pas disposés à s’en passer. Il faut rappeler les chiffres du covoiturage, en chute libre depuis la fin de la Covid-19, malgré un plan national en sa faveur. Or, la programmation pluriannuelle de l’énergie ne réserve pas des jours heureux pour la voiture…

La neutralité carbone est un objectif partagé au niveau mondial, mais la route pour l’atteindre est encore longue. La frénésie de décarbonation, « quoi qu’il en coûte » n…

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La neutralité carbone est un objectif partagé au niveau mondial, mais la route pour l’atteindre est encore longue. La frénésie de décarbonation, « quoi qu’il en coûte » n’est pas la solution comme l’explique Le PDG de TotalEnergies : »À en croire certains, il faudrait arrêter de produire du pétrole et du gaz du jour au lendemain et tant pis si c’est le chaos derrière. Lancer de tels anathèmes est déraisonnable : notre monde vit avec ces énergies-là. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas investir massivement dans les énergies décarbonées, au contraire, pour réussir la transition« ,. Des grandes puissances comme la Chine ne peuvent se passer, à ce stade, des énergies fossiles pour alimenter leur croissance. Selon les dernières communications du Conseil chinois de l’électricité (CEC), les énergies non fossiles ont progressé de 80 % depuis 2021…

 

Alors que les commandes et les immatriculations de voitures neuves sont à la peine en France, la ministre de l’Énergie estime que les professionnels « ne sont pa…

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Alors que les commandes et les immatriculations de voitures neuves sont à la peine en France, la ministre de l’Énergie estime que les professionnels « ne sont pas au rendez-vous du verdissement de leur flotte, de l’achat de véhicules décarbonés ». Si les sociétés « ont d’ores et déjà des obligations », elle s’est dite « prête à aller très fort sur l’obligation », à instaurer « des sanctions » et « une incitation fortement financière ». (…). Ce seront les véhicules d’occasion de demain », a-t-elle conclu. Un discours qui n’a rien de surprenant, puisqu’en commission du développement durable, elle estimait déjà que les objectifs (de verdissement) n’étaient pas respectés pour 2022. Aussi, pour elle, « il est crucial que toutes les entreprises assument leurs responsabilités et s’engagent à réduire leur empreinte carbone » …