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À l’heure où la coopération européenne a été – ou est encore – érigée en arme absolue pour gagner les grandes batailles technologiques et économiques (Airbus de…

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À l’heure où la coopération européenne a été – ou est encore – érigée en arme absolue pour gagner les grandes batailles technologiques et économiques (Airbus de l’aéronautique, Airbus des batteries en attendant d’autres Airbus), force est de constater que, dans le domaine de l’hydrogène, pourtant présenté comme l’énergie du futur par excellence, l’Europe ne parle pas d’une seule voix. Et si l’on regarde ce qui se passe à l’échelle de l’axe franco-allemand, c’est même la dissonance. À Paris, la programmation pluriannuelle de l’Energie (PPE) fait la part belle à l’électrique, alors qu’à Berlin, c’est l’hydrogène qui rafle tous les investissements. Les chiffres sont sans appel : 9 milliards d’euros de l’autre côté du Rhin d’ici 2030, contre à peine 100 millions par an dans l’Hexagone…

Les entreprises achetant ou louant en longue durée un véhicule électrique bénéficieront, à compter du 1er juin 2020, d’un bonus de 5.000 euros, contre 3.000 euros…

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Les entreprises achetant ou louant en longue durée un véhicule électrique bénéficieront, à compter du 1er juin 2020, d’un bonus de 5.000 euros, contre 3.000 euros auparavant à condition que le modèle en question n’excède pas 45.000 euros. C’est l’une des mesures phares du plan de soutien à l’automobile présenté par Emmanuel Macron le 26 mai dernier. Reste à savoir quelles seront les conséquences sur le coût de détention. Pour que la mesure soit pertinente, il convient d’intégrer l’ensemble des incitations et contraintes d’ordre fiscal pas seulement le prix d’achat duquel est déduit la prime. Et à ce petit jeu, l’électrique est sans conteste le vainqueur, d’autant plus avec le nouveau bonus : La hausse du bonus à 5.000 euros se traduit par une baisse estimée du TCO de 8 %…

 

Dans une étude publiée par l’Institut Gustave Eiffel (ex-Ifsttar) sur la mobilité et le genre, les femmes sont en train de bousculer les principes de la mobilité. « …

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Dans une étude publiée par l’Institut Gustave Eiffel (ex-Ifsttar) sur la mobilité et le genre, les femmes sont en train de bousculer les principes de la mobilité. « Les femmes deviennent de plus en plus actrices de leur mobilité et sont très sensibles aux questions de changement climatique et de pollution », rappelle Ariane Dupont-Kieffer, maître de conférences en Sciences Eco à Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Résultat : elles accueillent d’un œil favorable la perspective de rouler en électrique. Pourtant, toutes enthousiastes soient-elles, les femmes ont encore à affirmer leur place dans l’électromobilité. Les particuliers propriétaires de véhicules électriques restent en effet très majoritairement des hommes (à plus de 85 %)

C’est officiel : un décret vient de confirmer la prise en compte des valeurs d’émissions WLTP pour l’immatriculation des véhicules dans la fiscalité à compter du 1er ma…

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C’est officiel : un décret vient de confirmer la prise en compte des valeurs d’émissions WLTP pour l’immatriculation des véhicules dans la fiscalité à compter du 1er mars 2020. Pour rappel, cette norme qui remplace l’ancienne homologation NEDC, permet d’afficher des valeurs de rejet de CO2 plus proches de la réalité que l’ancienne norme. Il faut s’attendre à une augmentation de l’ordre de 20 à 30 % de l’ensemble des rejets des véhicules. Les nouveaux barèmes pour le malus, la TVS et les amortissements déductibles sont mis en place : Le malus débute toujours à 50 € mais dès 138 g et le barème de la 1ère composante la TVS est décalé de 20 à 30 g avec un montant maximum de 29 €/g pour les véhicules émettant plus de 270 g en WLTP, contre 250 g en NEDC

Les immatriculations de véhicules d’entreprise ont connu un coup d’arrêt sur janvier 2020 (-7,42 %) après une fin d’année 2019 spectaculaire avec une croissance à deux…

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Les immatriculations de véhicules d’entreprise ont connu un coup d’arrêt sur janvier 2020 (-7,42 %) après une fin d’année 2019 spectaculaire avec une croissance à deux chiffres (+10,4 %). La nouvelle grille de malus, l’entrée en vigueur des nouvelles normes européennes CAFE (qui obligent les constructeurs à présenter une gamme émettant en moyenne 95 gr de CO2 par km) et le coup de rabot sur les bonus électriques, contribuent à brouiller la visibilité des entreprises. Cependant, les motorisations alternatives tirent leur épingle du jeu avec des immatriculations en très forte hausse pour l’électrique (+81,38 % à 2 289 VP + VUL) et un bilan très favorable également pour les hybrides (+ 83,33 % à 4 211 VP + VUL)…