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Finalement, seules les deux plus grandes agglomérations françaises, Paris et Lyon, seront contraintes au 1^er janvier 2025 d’interdire les véhicules Crit’A…

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Finalement, seules les deux plus grandes agglomérations françaises, Paris et Lyon, seront contraintes au 1^er janvier 2025 d’interdire les véhicules Crit’Air 3, soit les voitures diesel de plus de 14 ans et les voitures à essence de plus de 19 ans. Les métropoles de Marseille (13), Strasbourg (67) et Rouen (76), qui devaient poursuivre la mise en place de leurs ZFE, en sont exemptées, grâce à l’amélioration de la qualité de l’air sur leur territoire en 2023. La concentration en oxyde d’azote y est passée sous les 40µg/m³, soit le seuil réglementaire retenu au niveau européen. Conséquence pour ces trois villes, qui ont déjà mis en place des mesures restrictives pour certains véhicules, elles n’auront pas à interdire les Crit’Air 3 au 1^er janvier 2025. Toutefois, Strasbourg a précisé garder le même calendrier…

 

L’impact global de la suppression du bonus écologique qui s’élevait jusqu’à 5.000 euros pour un véhicule éligible, sur le TCO (coût total de possession) devrait fin…

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L’impact global de la suppression du bonus écologique qui s’élevait jusqu’à 5.000 euros pour un véhicule éligible, sur le TCO (coût total de possession) devrait finalement être peu significatif. Effectivement, l’augmentation du TCO ne devrait être que de 5 %, comme nous l’a indiqué Sébastien Pinauldt, conseiller en gestion de flotte pour theBlueWay. « Ce n’est pas un changement majeur en termes de TCO. Globalement, il devrait avoir une moyenne d’enchérissement d’environ 5 %. Cela n’aura pas un énorme impact puisque le basculement vers l’électrique permet en général des économies allant de 10 à 20 % avant la disparition du bonus, soit 5 à 15 % après. Il y a toutes les voies d’économie à prendre en compte avec les véhicules électriques telles que le carburant, l’entretien et un nombre important de dispositifs fiscaux favorables aux véhicules électriques »…

La semaine débute sur les chapeaux de roues pour Stellantis. Ce lundi, le groupe a annoncé un partenariat avec Ayvens, une filiale de la Société Générale, leader…

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La semaine débute sur les chapeaux de roues pour Stellantis. Ce lundi, le groupe a annoncé un partenariat avec Ayvens, une filiale de la Société Générale, leader mondial de la location longue durée et de la gestion de flottes automobiles. Cet accord, évalué à plusieurs milliards d’euros, concerne l’acquisition de 500.000 véhicules du groupe dirigé par Carlos Tavares pour la flotte d’Ayvens en Europe d’ici à 2026. Il vise à soutenir la mise en œuvre du plan Dare Forward 2030 de Stellantis, dont l’objectif est de doubler le CA net d’ici à 2030 et d’atteindre un bilan carbone neutre d’ici à 2038. De son côté, Ayvens entend renforcer sa stratégie PowerUP 2026, axée sur la facilitation de la transition progressive vers la mobilité durable. Ayvens, disposant de la plus grande flotte au monde avec 3,4 millions de véhicules …

Selon l’Arval Mobility Observatory, les ventes de véhicules électriques montrent quelques signes de faiblesse depuis plusieurs semaines. Ce n’est rien toutefois e…

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Selon l’Arval Mobility Observatory, les ventes de véhicules électriques montrent quelques signes de faiblesse depuis plusieurs semaines. Ce n’est rien toutefois en comparaison à la filière hydrogène, qui peine encore à décoller. Si l’on prend les chiffres du marché du véhicule d’entreprise en France, il s’est immatriculé en tout et pour tout, 345 VP et VUL hydrogène (dont 290 VP), en 2023. Les freins sont assez identiques à ceux du véhicule électrique à ses débuts : prix des modèles jugés exorbitants, inexistence du réseau de stations de recharge (69 ouvertes en France et 197 en projet pour 2025-2026), méconnaissance des usages de cette nouvelle énergie… L’avenir appartient malgré tout à ces deux technologies en Europe. Peu à peu, mais à son rythme, le marché des nouvelles motorisations va se dessiner…

Alors que mardi dernier, l’État a décidé de ne plus subventionner la transition énergétique des flottes en supprimant le bonus écologique accordé aux entreprises lors d…

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Alors que mardi dernier, l’État a décidé de ne plus subventionner la transition énergétique des flottes en supprimant le bonus écologique accordé aux entreprises lors de l’achat d’un véhicule 100 % électrique, les principaux concernés, à savoir les responsables de parc, voient leur activité totalement chamboulée par cette décision aussi radicale qu’abrupte. Pour cause : « Non seulement nous sommes contraints d’adopter des véhicules électriques, mais nous sommes également privés de toute aide et ce sans préavis» déplore Michaël Goncalves, directeur de la flotte Auto d’Acorus. «Il s’agit d’une mesure qui alourdit considérablement les coûts de détention de véhicules, indispensables à la pratique de nos métiers». À moins que ce soit l’occasion de prendre des décisions plus raisonnées et pragmatiques, voire de réduire le nombre de véhicules en parc plutôt que de les renouveler…