Au regard des transitions majeures qu’ont à mener les entreprises (modes de travail, modèles économiques et opérationnels, RSE…) les prestations FM (services aux occupants, aux sites et bâtiments et leur pilotage) apportent une contribution majeure. C’est la raison pour laquelle les entreprises doivent s’interroger sur leurs achats FM et les relations à nouer avec ces grands acteurs du service, marché en pleine mutation.
En effet, pour mener à bien ces transitions avec des objectifs de performance, d’agilité, de maitrise des risques, d’attractivité, d’engagements RSE, … il est important de pouvoir s’appuyer sur un partenaire, dont le FM est cœur de métier, et qui les accompagnera sur la durée sur ces prestations stratégiques et transformantes.
Il ne pourra y avoir création de valeur sans changement de modes de collaboration non seulement entre prestataire et donneurs d’ordre mais aussi au sein de l’écosystème de service qui doit se mobiliser pour apporter les services et que le FMeur doit animer, plus qu’exploiter.
Cela nécessite la construction de partenariats étroits et de confiance entre clients et prestataires qui ne peut être le fruit d’un processus stérilisant de relations : cahier des charges , appel d’offre, négociation, contrat !
C’est sur la base de ce dialogue stratégique que l’enrichissement mutuel peut se créer et que la relation de compréhension et confiance mutuelle s’établit.
Cette démarche, à mille lieux de l’appel d’offres systématique, permet de co-créer et matérialiser cette valeur dont les FMeur revendiquent l’existence et les clients attendent la concrétisation.
Les directions générales sont maintenant attentives aux choix qui sont fait et aux contrats qui sont signés. Elles veulent à la fois recevoir des services adaptés à leur contexte spécifique et être certains qu’elles recourent à des partenaires capables d’ajuster la prestation et son coût au gré des fluctuations de l’activité et du contexte économique, sanitaire, sécuritaire, de prendre en charge des investissements, … C’est en cela, par ce partage de risque mais aussi cette compréhension réciproque qu’un vrai partenariat peut s’établir entre les entreprises.