Les vœux du GES présentés, ce 19 janvier, furent l’occasion pour son président de dresser un bilan de l’année, avec en point d’orgue, le Congrès d’Annecy où Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, ont pris des engagements forts pour la profession.
Et de rappeler les chantiers pour 2023 :
– L’instauration, par la loi, d’une garantie financière pour les acteurs de la sécurité privée, et pour laquelle le ministre de l’Intérieur et des Outre-mer s’est déclaré favorable ;- La publication d’un indice des coûts de la sécurité privée, en test depuis plus d’un an et qui sera présenté officiellement en avril prochain ;
– La refonte des classifications qui permettra de valoriser les compétences des agents actuels et futurs et les rémunérations. La négociation devrait aboutir à un accord avant la fin de ce premier trimestre ;
– Liés à cette refonte des classifications, les travaux de la CPNEFP sur la formation et la certification devront être soutenus par le GES et ses adhérents ;
– Du point de vue de la formation d’ailleurs, il conviendra de porter nos propositions dans la concertation sur la future Ordonnance «Formation». Ce projet ainsi que le rapport d’opportunité sur l’élargissement du périmètre du livre VI du CSI (sécurité incendie et installation/maintenance de dispositifs électroniques de sécurité) seront les derniers éléments d’application de la loi, après la réforme du CNAPS déjà en place ;
– Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, rendez-vous majeur pour la France, et tout aussi marquant pour la profession, nécessitent encore des arbitrages ;
– La mise en place d’un signe distinctif, prévue par la loi «Sécurité globale» du 25 mai 2021, pour une meilleure identification des agents de sécurité privée par le grand public est en cours de finalisation ;
– La refonte des classifications qui permettra de valoriser les compétences des agents actuels et futurs et les rémunérations. La négociation devrait aboutir à un accord avant la fin de ce premier trimestre ;
– Liés à cette refonte des classifications, les travaux de la CPNEFP sur la formation et la certification devront être soutenus par le GES et ses adhérents ;
– Du point de vue de la formation d’ailleurs, il conviendra de porter nos propositions dans la concertation sur la future Ordonnance «Formation». Ce projet ainsi que le rapport d’opportunité sur l’élargissement du périmètre du livre VI du CSI (sécurité incendie et installation/maintenance de dispositifs électroniques de sécurité) seront les derniers éléments d’application de la loi, après la réforme du CNAPS déjà en place ;
– Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, rendez-vous majeur pour la France, et tout aussi marquant pour la profession, nécessitent encore des arbitrages ;
– La mise en place d’un signe distinctif, prévue par la loi «Sécurité globale» du 25 mai 2021, pour une meilleure identification des agents de sécurité privée par le grand public est en cours de finalisation ;
– Enfin, la communication sur notre profession, nos métiers, notre image, avec la création d’une commission dédiée au sein du GES afin de porter ces sujets et engager des actions efficaces : cette valorisation de notre profession s’inscrira en coordination avec les actions menées par l’ensemble des acteurs de la filière de la sécurité privée.