Chronique
La réussite de toute entreprise dépend de son capital humain, plus précisément de sa capacité à placer le bon profil au bon poste et au bon moment.
Globalement, tous modes de recrutement confondus, 50% des embauches cadres échouent dans les 18 premiers mois de collaboration.
Cela tient à un aspect essentiel : la motivation du candidat.
Celle-ci doit être soigneusement étudiée.
Plusieurs éléments de sélection dans le recrutement sont pris en compte mais la motivation est généralement insuffisamment approfondie et vérifiée.
Soit les entreprises n’ont pas assez fait ce travail de détection de la motivation en amont, soit elles n’ont pas tenu compte des informations données par le candidat.
Sur des marchés compétitifs et dans un contexte sociétal complexe, les entreprises sont de plus en plus en demande d’excellence. Pour répondre à cet enjeu, ce sont la motivation et le savoir-être qu’il faut prioritairement développer.
Ce sont ces fondamentaux, qui – à compétences égales – font toujours la différence, aussi bien en interne qu’en externe.
Facteurs clefs d’harmonie et d’excellence, la motivation et le savoir-être participent ensemble à un état d’être, à des modes de fonctionnement avec les partenaires, les fournisseurs, les sous-traitants et surtout avec la clientèle.
Ils participent à la dimension humaniste dans le monde du travail, facilitant l’adaptation, permettant que chacun donne le meilleur de lui-même dans le cadre de sa fonction.