Événements à venir

À Paris - Porte de Versailles, l’événement de référence de l’investissement immobilier en France pour l’ensemble de l’écosystème sur tous les actifs et pour tous les territoires.

À Paris - Porte de Versailles, l’événement de référence de l’investissement immobilier en France pour l’ensemble de l’écosystème sur tous les actifs et pour tous les territoires.
lundi 26 avril 2021
EDF veut améliorer ses activités de maintenance, d’exploitation et de logistique. Alors, le groupe français d'électronique Thales et l'équipementier télécoms suédois Ericsson se sont associés à EDF pour apporter une connectivité mobile haut-débit sur ses sites nucléaires avec la mise en service opérationnelle d'un réseau privé 4G sécurisé. Un accès à distance sera réservé aux salariés et prestataires d’EDF grâce à des terminaux sécurisés. C'est sur le site pilote du Blayais (Gironde) que le réseau a été installé en premier avec succès, avant que le projet ne soit déployé au niveau national. Les trois entreprises mettent en avant un gage de pérennité, d’évolutivité et de sécurité, avec une évolution possible à terme vers la 5G.
auteur: (Cf. InfoGmedias - Capital)
source: www.capital.fr
mardi 27 avril 2021
Les chiffres sont exorbitants et pourraient continuer à grimper dans les années à venir. En 2021, les cyberattaques vont coûter 6.000 milliards de dollars à l’économie mondiale, constate un rapport du Club des juristes. Plus concrètement, précise ce rapport, si le piratage informatique était un pays, il représenterait autant que la troisième économie mondiale derrière les Etats-Unis et la Chine. Et face à ce phénomène, personne n’est épargné. 90% des entreprises ont été touchées en 2019, dont près de la moitié sont des PME. Le télétravail, rendu indispensable en période de pandémie, a accentué le phénomène et est devenu la source de 20% de la cybercriminalité. Face à la croissance exponentielle de ces piratages, il faut plus de moyens humains et matériels...
auteur: (Cf. Info Marion Dubreuil avec AntoineTerrel - Europe1)
source: www.europe1.fr
mercredi 28 avril 2021
Il y a quelques mois le groupe Michelin se lançait dans la production de masques pour l'ensemble de ses salariés avec entre 1,5 M et 2,7 M de masques chirurgicaux par mois. En Bretagne ce sont 5 usines qui sont sorties de terre en un an, et produisent aujourd'hui 26 millions de masques par an. En matière de solutions désinfectantes et de gels hydroalcooliques les industriels français ont eux aussi montré leur capacité à adapter leur outil mais également à investir pour répondre à une demande qui a explosé et continue de se maintenir à un niveau important. Inévitablement cette mobilisation exceptionnelle des acteurs de l'hygiène et la désinfection a eu un effet d'aubaine pour tous les opportunistes et escrocs de tous poils qui ont flairé les bonnes affaires...
auteur: (Cf. Info Bâtiment et Entretien)
source: www.batiment-entretien.fr
jeudi 29 avril 2021
Première foncière des bureaux européenne, Gecina pourrait redouter les effets de la crise du Covid. A court terme, la conjoncture économique va peser sur la demande et à plus long terme, le développement du télétravail pourrait impacter le marché. Mais fort de ses 658 millions de loyers par an, Gecina reste optimiste. Cette crise a démontré qu'on ne pouvait imposer à tout le monde de travailler de chez soi. Pour des questions de confort, de confidentialité, d'épuisement… On a le droit de déconnecter. Croire que le temps gagné dans les transports en commun c'est formidable, c'est oublier à quel point travailler sans cesse de chez soi est épuisant. Et le flex office ne va-t-il pas se généraliser ? cela a tout de la fausse bonne idée. Il vaut mieux passer en open space, réduire les mètres carrés par salariés...
auteur: (Cf. Info Julie Chauveau, David Barroux - Les Echos)
source: www.lesechos.fr
vendredi 30 avril 2021
75 % des salariés français faisaient au moins une pause-café par jour. La pause-café sert à prendre le pouls, à comprendre les non-dits et les postures des uns et des autres, c’est le moment où beaucoup de choses se vivent, se dénouent, se fluidifient. C’est un outil de communication qui permet d’échanger de façon plus libre y compris avec ses supérieurs. On s’autorise à dire des choses qu’on n’oserait pas exprimer. La pause-café c’est aussi une façon de promouvoir la cohésion sociale entre les salariés, de manifester les affinités. Or, depuis quinze mois, télétravail et gestes barrières ont mis à mal ce rituel social essentiel au bon fonctionnement de l’entreprise. Le moindre échange est planifié et se fait par Slack, Zoom ou téléphone. On a l’impression d’être devenu un robot...
auteur: (Cf. Info Marie Slavicek - Le monde)
source: www.lemonde.fr