Événements à venir

À Paris - Porte de Versailles, l’événement de référence de l’investissement immobilier en France pour l’ensemble de l’écosystème sur tous les actifs et pour tous les territoires.

À Paris - Porte de Versailles, l’événement de référence de l’investissement immobilier en France pour l’ensemble de l’écosystème sur tous les actifs et pour tous les territoires.
lundi 31 mai 2021
Nous nous adressons à ceux qui, chargés de rédiger un contrat en anglais mais régi par le droit français, sont tentés de recycler un contrat régi à l’origine par le droit d’un pays anglo-saxon. Le manque de temps ou la facilité peuvent en effet aboutir à de véritables « barbarismes juridiques », c’est-à-dire en pratique à des clauses inutiles voire même dangereuses. L’expérience montre en effet que certaines clauses habituelles et parfaitement utiles dans leur droit d’origine, souffrent d’être transplantées dans un paysage de droit français. On risque quelques déconvenues, même si le législateur français a pu adopter avec succès certains concepts anglo-saxons. Ainsi, le bon père de famille consacré par le code civil de 1804, a-t-il été remplacé depuis la loi du 4 août 2014 par la personne « raisonnable », si chère à nos amis anglo-saxons...
auteur: (Cf. Info Catherine Muyl - Revue Squire)
source: larevue.squirepattonboggs.com
mardi 1 juin 2021
La période n’incite pas à l’optimisme. Pourtant, les gestionnaires de flottes automobiles se montrent positifs quand ils évoquent leur avenir. Portée par une progression de l’activité et par le besoin de rendre plus sûr les déplacements, près de la moitié des responsables de parc s’attendent à une augmentation de leur nombre de véhicules dans les 3 années à venir selon le Baromètre des flottes et de la mobilité 2021, réalisé par l’institut Kantar pour le compte de l’Arval Mobility Observatory. Les entreprises accélèrent également leur transition énergétique. Les entreprises profitent d’un soutien financier massif avec le renforcement des bonus-malus, le retour en grâce de l’hybride rechargeable dans les dispositifs de prime et la perspective de réglementations plus restrictives...
auteur: (Cf. Info Eric Gibory - Le Figaro)
source: www.lefigaro.fr
mercredi 2 juin 2021
De contrainte, la RSE est devenue une boussole pour les entreprises. La crise de la Covid, tout comme le cadre réglementaire, a amplifié la nécessité d’une approche plus responsable pour ses actions, dont ses achats. L’entreprise peut alors les valoriser, dans son rapport de performance extra financière, dans les collectifs ou groupes de travail multi sociétés ou plus opérationnellement dans ses réponses à appel d’offres. Mais un obstacle majeur se dresse dans ce déroulé. Pour évaluer la part « RSE » de leurs dépenses, il est parfois difficile pour les entreprises d’arriver à identifier et qualifier les fournisseurs répondants à ces critères. Ce défaut de qualification reste un angle mort de l’action RSE, avec comme conséquence une difficulté à communiquer sur ces actions et à mettre en place les mesures d’améliorations de son approche Achats Responsables...
auteur: (Cf. Info Vincent Martegoutte - Cadre & Dirigeant)
source: www.cadre-dirigeant-magazine.com
jeudi 3 juin 2021
Selon l’OMS, la France est au 3è rang mondial des pays recensant le plus grand nombre de dépressions liées au travail. Et selon l’European Agency for Safety and Health at Work, le stress est la cause de presque 60% des journées perdues. Clairement, 2 procédés résultent directement de la pathologie du siècle : désengagement et absentéisme ; sans parler des procédures devant les prud’hommes lorsque le stress a pour cause un harcèlement vertical. Pour avoir une idée concrète du manque à gagner : le coût de l’absentéisme dû au mal-être est de 3.500 euros par salarié et par an, soit 7% de la masse salariale en France. Le stress est clairement un paramètre à prendre en compte dans la stratégie de productivité au sein de l’entreprise, ce qui signifie avoir des budgets pour l’enrailler et pallier aux besoins...
auteur: (Cf. Info Dynamique Mag)
source: www.dynamique-mag.com
vendredi 4 juin 2021
Marginal jusqu'au déclenchement de l'épidémie du Covid, le télétravail aura été expérimenté par des millions de salariés depuis plus d'un an. Et en aura conquis beaucoup. Selon un sondage Elabe pour « Les Echos », ce qui fait recette, ce n'est pas le tout ou rien, mais le mix. Faire du télétravail sur une partie du temps de travail et être en présentiel sur l'autre partie, là est la solution pour 60 % des Français, avec pour 35 % de ceux déjà concernés par le télétravail une préférence pour le forfait de deux jours chez soi contre un jour pour 15 % et 0 jour pour 19 % (plus chez les salariés de PME et ceux qui n'ont pas télétravaillé à 100 %). L'envie de télétravail ne masque pas les avantages du présentiel : la vie sociale avec les collègues et la formation des jeunes et des nouveaux recrutés, pointée par plus de 80 % des Français...
auteur: (Cf. Info Leila Comarmond - Les Echos)
source: www.lesechos.fr