Créé par la start-up Les Canards de Paris, ce véhicule de 11 mètres est le tout premier bus amphibie de France. Depuis le 5 juillet, il sillonne les routes de la capitale et la Seine en transportant à son bord une trentaine de personnes. Ce bus hybride est le fruit de sept ans de développement. Le projet a été porté par Paul Michel et Philippe Mallet, qui se sont rencontrés il y a une dizaine d'années sur les bancs de leur école de commerce. Etant donné qu'il n'existe pas d'arrêté de loi pour ce type de véhicule, ils ont dû apprendre sur le bout des doigts l'ensemble des réglementations concernant les autocars d'une part, et les bateaux de l'autre. De même, le chauffeur a besoin de six permis pour avoir le droit de le conduire…

Entre les 6 et 9 septembre 2021, une partie des loges et des tribunes du stade parisien se transformeront en lieu de travail. Elles offriront pour l’occasion tout le confort d’un espace Wojo traditionnel, c’est-à-dire un mobilier ergonomique et design ainsi qu’une connexion wifi sécurisée. Parmi ceux-ci, le salon Haussmann, avec vue sur la pelouse, sera divisé en deux espaces, l’un plus animé et agrémenté d’un coin snacking et l’autre plus au calme pour travailler en toute tranquillité. Un cadre de travail inédit destiné non seulement aux travailleurs nomades, mais aussi aux entreprises, puisque des salles de réunion et des bureaux privatifs avec vue sur le stade seront ouverts à la demi-journée, sur réservation sur le site wojo.com au  tarif unique, de 24€ par personne…https://www.voyages-d-affaires.com/wojo-coworking-parc-des-princes-20210824.html

« Au regard des chiffres et des risques, on n’envisage plus un retour total sur site en septembre, comme on l’avait prévu avant la période estivale, mais de poursuivre le télétravail, comme on l’a fait avant l’été, par précaution, autour de deux jours par semaine », explique Audrey Richard, présidente de l’Association nationale des DRH (ANDRH). Alors que beaucoup de salariés ont pris goût au télétravail, la majeure partie des entreprises se tournent vers un modèle hybride négocié. « Le dialogue social en entreprise va compter. Chaque société va trouver son équilibre» commente l’ANDRH alors que 24.000 accords ont déjà été signés en 2020, prévoyant  2 à 3 jours à distance par semaine en moyenne. Le télétravail est maintenant une composante que doit proposer chaque entreprise…

Le développement du télétravail, dû à la crise sanitaire, a bouleversé les rapports à l’emploi et au management. Personne ne sait où se situe le bon équilibre. Pour les manageurs, le casse-tête est aussi organisationnel, en raison des temps synchrones entre présentiel et distanciel tandis que les directeurs administratifs et financiers voient dans le télétravail une occasion de réduire le coût de l’immobilier. Une seule chose est sûre, rien ne sera jamais plus comme avant. Le management doit évoluer avec les organisations hybrides. Les accords de télétravail se multiplient ainsi que les formations sur la gestion des équipes à distance. On passe d’un management basé sur le contrôle à une culture de la confiance.

Les entreprises rapatrient de plus en plus leurs employés en présentiel, mais certaines personnes ne veulent tout simplement pas en entendre parler. De fait, pour plein de monde, le télétravail est une aubaine: l'absence de trajet, la flexibilité des horaires et une tenue vestimentaire plus décontractée sont autant d'atouts pour la qualité de vie de beaucoup d'entre nous, sans parler des gains de productivité que certains ont pu constater sans être régulièrement interrompus par des collègues jacasseurs. Les managers font état d'un taux de rotation inhabituel et de difficultés à trouver des candidats dans les entreprises ne permettant pas le travail à domicile. Et que se passe-t-il? Il est évident que l'attrait du travail à domicile y est pour beaucoup, mais l'année écoulée a également suscité une grande réflexion sur ce qui nous est le plus important et la façon dont nous voulons employer notre temps...

Dès mercredi le nouveau protocole sanitaire va “redonner la main” aux entreprises en instaurant la fin d’un nombre minimal de jours de télétravail. Elles pourront mettre un terme au télétravail et exiger de leurs salariés qu’ils reviennent travailler tous les jours sur site. Les entreprises qui ont déjà signé des accords de télétravail avant ou pendant la crise sanitaire pourront les activer ou les maintenir. Auquel cas les salariés bénéficient d’un cadre négocié et régulier. Celles qui n’ont pas signé d’accord pourront mettre en place du télétravail par charte, de façon unilatérale. Le salarié pourra bien sûr toujours négocier de gré à gré des jours de télétravail avec son employeur comme le prévoit le code du travail. L’employeur devra, en cas de refus, motiver sa réponse. Enfin, le maintien des comportements barrières reste la norme du nouveau protocole sanitaire en entreprise...

L’abonnement Mon Forfait Annuel Télétravail (MFAT) est notamment une réponse aux nouveaux besoins des télétravailleurs et aux personnes qui travaillent loin de leur domicile, avec des actifs qui sont de plus en plus nombreux à modifier leur mode de travail. Il s’adresse également à des navetteurs peu fréquents, qui utilisent actuellement la voiture faute d’une offre d’abonnement de train attractive financièrement et adaptée à leur usage. Depuis le 1er septembre 2021, MFAT propose 250 trajets par an, éligibles pour toutes les destinations TGV INOUI et INTERCITÉS en France. Il est valable du lundi au jeudi, en adéquation avec les pratiques les plus courantes du télétravail actuel et est proposé à un prix équivalent à 40% de réduction par rapport à l’abonnement classique Mon Forfait Annuel...

Les start-up françaises sont de plus en plus nombreuses à vouloir améliorer leur impact social et environnemental. Une démarche qui passe souvent par une certification ou une labellisation… pas si simple d'en choisir une, puis de l'obtenir. Entre les labels généralistes (Engagé RSE, B Corp, LUCIE, EcoVadis), thématiques (achats responsables, lutte contre les discriminations…) et sectoriels (Enseigne Responsable, BioEntrepriseDurable…), difficile de s'y retrouver. Sans oublier le statut de «société à mission» introduit par la loi Pacte. A part les experts et quelques passionnés, personne ne comprend réellement ce que tout ça veut dire. Et il n'existe pas de plateforme agrégeant tous ces labels qui sont pour certains indépendants, tandis que d'autres ont été conçus par des entreprises ou organismes. Enfin, il ne faut pas négliger les ressources à mobiliser en interne...