Si l’on parle d’un bâtiment « serviciel », c’est que l’on sous-entend l’existence d’une offre de de services proposée sur un site donné, et qui pourrait être décorrélée du bâti à proprement parler. On parle de services opérés qui vont de la conciergerie  à la salle de sports, en passant par l’offre de restauration et les bornes de recharge pour véhicules électriques. Deuxième registre, le bâti lui-même. Il est porteur en effet d’une logique servicielle : les services consubstantiels au bâti lui-même (sa localisation, son architecture, ses technologies et ses aménagements). Un troisième registre peut aussi être appréhendé, celui de l’hospitalité : comment je suis accueilli, orienté, accompagné… dans un immeuble donné. Cette dimension relationnelle, humaine, est complémentaire des précédentes…

Nous les transportons partout et pour beaucoup de gens, ils sont la première chose qu'ils voient le matin : nos téléphones portables. Si les inquiétudes concernant leur utilisation se concentrent généralement sur la distraction qu'ils peuvent causer au volant, sur les effets possibles des radiofréquences ou sur le caractère addictif qu'ils peuvent créer, le risque d'infection microbienne est beaucoup moins pris en compte. Or, ce dernier est bien réel selon les études scientifiques. Les téléphones portables seraient susceptibles de transporter 10 fois plus de bactéries que la plupart des sièges de toilettes. Il convient donc d’éviter d’utiliser votre téléphone dans les toilettes, se laver soigneusement les mains avant de le manipuler et ne pas oublier de le désinfecter…

Comme son nom l’indique, le Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) a plus parlé d’action que de réflexion. Il s’agissait avant tout pour la France, et accessoirement pour l’Europe, de montrer qu’elle restait dans la course. Car il s’agit maintenant d’une vraie compétition, dont le départ a été donné lorsque l’américain OpenAI a lancé dans le grand public, fin 2022, son assistant conversationnel ChatGPT. Et quand on court, il est un peu tard pour fixer les règles de la compétition. L’Europe a voulu anticiper, avec son règlement AI Act mais s’est pris les pieds dans le tapis en pénalisant ses propres coureurs. Elle change de priorité désormais face à la menace. Le train de l’IA est lancé à une telle allure qu’il est impossible à ralentir. Le plus récent accélérateur a été le lancement de l’IA chinoise DeepSeek. Un événement car elle est construite sur un modèle “open source“, beaucoup moins onéreuse que ses homologues américaines…

Finalement votés le 6 février dernier, après plusieurs mois d’incertitudes, le PLF (projet de loi de finances) et PLFSS (projet de loi de financement de la sécurité sociale) 2025 vont maintenant être publiés au Journal officiel pour entrer en vigueur. Les taxes imposées aux véhicules jugés polluants vont s’intensifier tandis que la transition énergétique des parcs s’avérera moins soutenue financièrement, notamment avec la suppression du dispositif de prime à la conversion et la diminution significative du bonus écologique. Une dynamique qui ne date pas d’hier mais s’accentue un cran au-dessus pour cette nouvelle année. Après la carotte, le bâton. Les membres de la commission mixte paritaire ont en effet conservé dans le PLF 2025 l’amendement gouvernemental prévoyant une amende pour les entreprises (de plus de 100 véhicules) qui ne sont pas assez promptes à électrifier leurs flottes lors du renouvellement du parc roulant…

Le luxe, la tech et l'ingénierie : voilà les secteurs qui attirent le plus les jeunes. Sur la première marche du podium des entreprises qui leur font envie : Apple, suivie de Google et L’Oréal. C'est ce qui ressort d'une étude menée fin 2024 auprès de 13.000 étudiants et jeunes diplômés de 18 à 30 ans. D'année en année, le top 10 de leurs entreprises préférées évolue peu. Quelques changements cette année cependant : alors que Decathlon était entré en 2022 dans le top 10 des entreprises préférées, il en sort cette année pour descendre à la 13^e place. A l'inverse, EDF qui n'était pas dans le top 10 ces dernières années, y entre à la 6^e place. « La rémunération et les avantages sociaux » sont les critères les plus souvent cités pour travailler dans une entreprise plutôt qu'une autre…