L’été dernier, quinze géants de la restauration rapide, dont McDonald’s, s’engageaient à instaurer le tri des déchets, en salle, dans 70 % de leurs restaurants à la fin 2019. Le compte n’y serait pas : seuls 40 % assuraient le tri des déchets en salle. Si McDonald’s, avec 1,8 million de repas servis par jour, soit115 tonnes d’emballages par jour, s’est enfin sérieusement penché sur le sujet, on est encore loin des 70% promis. Surtout, l’installation des bacs en salle ne garantit pas que les déchets ne seront pas ensuite versés dans une benne commune avant d’être collectés. Pour l’instant, le ministère de la Transition écologique n’a pas tapé du poing sur la table…

L'épidémie de coronavirus prenant chaque jour davantage d'ampleur, les entreprises se préparent au stade 3 de l’épidémie, notamment en établissant des plans de continuité d’activité (PCA) qui liste les actions à mener pour protéger les salariés tout en poursuivant l’activité. «Le stade 3, c'est relativement facile à organiser dans le tertiaire. Mais dans les usines, ce sera sensiblement plus compliqué », craint un industriel. « Nous travaillons en temps réel pour définir en avance la gamme des actions nécessaires », indique-t-on chez PSA. Dans les usines Peugeot, les directions ont pris langue avec les préfets. Chez Renault, une cellule dédiée se réunit chaque jour en fin de journée pour décliner pour le lendemain...

L’OCDE publie un rapport qui compare la qualité de vie dans les 35 plus grands pays industriels. Sur la plupart des critères comme la santé, la sécurité, l'environnement, l'inégalité ou le logement, la France est bien au-dessus de la moyenne. En temps de loisirs, nous sommes vice-champion du monde. C’est quand même plus important que la chute du Nasdaq...

Dans une étude publiée par l’Institut Gustave Eiffel (ex-Ifsttar) sur la mobilité et le genre, les femmes sont en train de bousculer les principes de la mobilité. « Les femmes deviennent de plus en plus actrices de leur mobilité et sont très sensibles aux questions de changement climatique et de pollution », rappelle Ariane Dupont-Kieffer, maître de conférences en Sciences Eco à Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Résultat : elles accueillent d’un œil favorable la perspective de rouler en électrique. Pourtant, toutes enthousiastes soient-elles, les femmes ont encore à affirmer leur place dans l’électromobilité. Les particuliers propriétaires de véhicules électriques restent en effet très majoritairement des hommes (à plus de 85 %)