Mails, visioconférences, messages… Les outils numériques prennent de plus en plus de place au travail et en sont un facilitateur. Mais ils portent aussi le risque d’un « stress numérique », alors qu’une étude récente indique que 31 % des salariés sont exposés à une hyperconnexion. Aux yeux de l’épidémiologiste William Dab, « le phénomène central est celui de "surconnexion" » qui peut entraîner « une surcharge mentale ». Il pointe « un cercle vicieux avec une sorte de pression continue qui nous fait zapper d’une source d’information à l’autre », et le sentiment à un moment de « perdre le contrôle ». Une situation de stress « dont la forme extrême est le burn-out ». « Pas que mentales », les conséquences sont associées à une « augmentation des risques cardiovasculaires, des risques métaboliques », ainsi qu’à des effets « immunitaires »…

Selon l’avis d’attribution, Paris 2024 a affecté plus d’une centaine de lots à une petite trentaine d’entreprises, pour la plupart des PME basées en IDF. Plus grosse entité retenue, le groupe Seris obtient une dizaine de lots sur plusieurs lieux, dont le site d’escalade du Bourget et le centre aquatique à Saint-Denis. La société CESG va quant à elle participer à la sécurisation de plusieurs sites parisiens comme le pont d’Iéna-Trocadéro et la Concorde, tout comme le groupe BSL sécurité, qui sera chargé de missions de sécurité incendie et d’assistance sur six sites. La société toulousaine RPS remporte des lots de gardiennage sur des sites parisiens ainsi que les deux lots multi-attributaires, tandis que Bac Up, se voit attribuer trois lots sur des zones couvrant terrain de jeu, vestiaire et zones d’échauffement. Dom sécurité, aussi présente en outre-mer, obtient un lot à Saint-Étienne…

Le nouveau géant mondial des services à l'énergie, créé avec la fusion de Bouygues Energies & Services et de l'ex-filiale d'Engie acquise par le groupe Bouygues est déjà à pied d'oeuvre.

Avec 17,7 milliards d'euros de CA pro-forma pour 2022 et 90.000 salariés, l'entreprise est bien positionnée avec ses savoir-faire autour, entre autres, de la sobriété énergétique, de la récupération de chaleur fatale, de l'énergie photovoltaïque, ou encore de la gestion de flux - chauffage, électricité, informatique - d'immeuble. Après un contrat emblématique en cours avec l'armée britannique et le projet aux Etats-Unis, de la maintenance du réseau d'éclairage de Washington DC, le groupe est sollicité pour la giga-usine d'ACC, qui vient d'être inaugurée à Douvrin (Pas-de-Calais) pour réaliser des équipements nécessaire à la mise en oeuvre de la salle propre et sèche…

En mai, le marché entreprise a enregistré un troisième mois consécutif de croissance, affichant, au cumul, une performance de 7,7 %, avec près de 308.000 mises à la route depuis janvier. Toutefois, si l’on compare ce bilan mensuel à celui de mai 2019 et ses 73.909 immatriculations, il ressort un repli de - 21,9 %. Même si les immatriculations progressent, en grande partie par un enchaînement des livraisons, conséquence du retard pris depuis la crise des semi-conducteurs, le marché ne parvient donc pas à retrouver son niveau et le retard tend même à se creuser. Pas de changement de tendance également dans les énergies : les parts de marché ressortent en cumul à fin mai à 25,4 % pour l’essence, 39,33 % pour le diesel, 10,32 % pour l’électrique, 22,3 % pour les hybrides dont 8,73 % pour les rechargeables et 13,57 % pour les hybrides simples …