Plus de 800 représentants de 130 pays, scientifiques et  diplomates, étaient présents à l'Unesco Paris, ce lundi pour l’ouverture de la session plénière de l’IPBES (Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services) qui veut insuffler un «effet Paris» à la lutte contre le déclin de la biodiversité, en référence à l’accord sur le climat, lors de la COP21 en 2015. Après avoir dressé un état actuel de la perte de biodiversité (1/4 des 100.000 espèces évaluées -sur les 8 millions que compte la planète- sont menacées d’extinction), les experts proposeront des pistes d’actions, puis se pencheront sur la capacité des Etats à atteindre les objectifs de biodiversité d’Aichi, de développement durable ainsi que ceux de l’accord de Paris sur le climat…

La médiation, processus dans lequel deux ou plusieurs personnes morales ou physiques confient à un tiers indépendant, neutre et impartial, la tâche de les aider à résoudre un différend qu'ils n'ont pu régler par une négociation directe, présente de nombreux avantages. Elle permet de gagner du temps et de l'argent, de conserver des liens d'affaires avec les parties adverses, et de maîtriser la décision. Et pourtant, elle n’est pas utilisée comme elle le devrait ? Principalement car la culture française porte davantage à l'opposition qu'au compromis, qui est assimilé à une position de faiblesse, une logique que défendent aussi souvent les conseils des entreprises. Le contentieux est un enjeu de pouvoir au sein même de l'entreprise…

Ce n’est pas la dernière tarte à la crème des théories managériales : la bienveillance au travail est avant tout une méthode plus efficace, explique par A+B le docteur Philippe Rodet. «Le management bienveillant diminue les effets de stress et améliore la motivation dans l’entreprise» précise-t-il. Un chef se doit donc, aujourd’hui d’être bienveillant pour être efficace : il insuffle des émotions positives (fierté, gratitude, sérénité) et bataille contre les ressentis négatifs (peur, frustration, colère). Philippe Rodet se défend de tout sentimentalisme sirupeux et s’appuie sur des pratiques ayant fait leurs preuves…

Par jugement au fond rendu le 23 avril dernier, le Tribunal de Commerce de Nanterre a condamné Capgemini France à verser près de 538.000 euros à la société Haulotte en réparation d'un préjudice subi à la suite d'une perte de données. En 2006, la société, avait signé un contrat d'infogérance avec Euriware (racheté par Cagemini France en 2014) pour l'externalisation de la gestion complète de son système d'information. A la suite d'un dysfonctionnement technique, un grand nombre de fichiers (estimé à 200.000) avait disparu. Et le programme de sauvegarde n'avait pas permis de restaurer les données. Le Tribunal n'a retenu que l'inexécution du contrat et non la faute grave en raison des efforts de Capgemini pour mettre un terme au dysfonctionnement mais seulement …