Selon la note de France Stratégie, qui porte sur les grandes métropoles, le télétravail a conduit à réduire la fréquentation des transports en commun, à Paris comme à Lyon, Toulouse ou Rennes, surtout les lundis, mercredis et vendredis, et aux heures de pointe. Par ailleurs, concernant les déplacements longue en train, qu’il s’agisse du TGV ou des Intercités, les déplacements professionnels n’ont pas encore retrouvé leur niveau d’avant 2019, « probablement en lien avec une baisse de la mobilité subie grâce notamment au développement des visioconférences ». L’analyse note dans le même temps des répercussions financières pour les opérateurs. En effet, à partir de trois jours de télétravail, est observée une réduction des achats d’abonnement par les usagers…

L'édition 2024 des chiffres du classement TOP 70 des entreprises de propreté, réalisé à partir des chiffres clés et notamment de leurs chiffres d'affaires pour l'exercice 2023 montre u ralentissement de la croissance. Cette étude annuelle réalisée par Le Monde de la Propreté et publiée par notre confrère Services, fait état d'une croissance moyenne de 8,7%, inférieure de plus de 4 points par rapport à l'exercice 2022. Le peloton de tête est toujours composé des 5 groupes majeurs qui dépassent ou frôlent le milliard d'euros de CA :Onet et GSF à 1,17 Md€, Atalian à 1,01 Md€, Samsic à 950,72 M€ et Elior-Derichebourg à 928,52 M€. Comme les années précédentes, les challengers de ce « Club des 5 », qui domine le monde de la propreté et des services associés, pointent loin derrière…

Dans le flou qui demeure sur la fiscalité automobile qui s'appliquera dès le 1er janvier 2025, certaines évolutions sont déjà actées à l'instar de l'extension du malus au poids aux véhicules hybrides rechargeables ou de l'application d'une nouvelle grille pour la taxe annuelle sur les émissions de CO2 (ex-TVS). Mais l'incertitude demeure quant à l'évolution attendue du malus CO2, malus au poids ou encore des avantages en nature. Bien que rejeté par les députés fin octobre, le durcissement des malus CO2 et malus au poids pourrait bien intervenir tel que prévu dans le projet de loi de finances pour 2025. Selon l'article 8 du PLF 2025, le malus écologique sera une nouvelle fois durci avec une trajectoire 2025-2027 définie par avance…

« Il ne faut pas se mentir, l’alimentation durable suscite, certes, un enthousiasme généralisé, mais bien plus pondéré dans les pays industrialisé qui souffrent du contexte économique inflationniste », avance la directrice de la transition alimentaire et nutrition de Sodexo France. Précisons que pour cette 2ème édition, le baromètre intègre désormais l’Inde, aux côtés du Brésil, des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni. Il met en évidence trois enseignements. 1-Les citoyens ont une très bonne image de l’alimentation durable dans tous les pays. 2-Le prix, le goût et la santé sont les trois leviers pour engager les consommateurs vers une alimentation durable. 3-Pour les consommateurs, ce sont les acteurs de la restauration qui sont les moteurs essentiels…

La COP29 ne s’est pas conclu sur un échec, mais c’est tout comme pour les dizaines de pays en développement qui subissent de plein fouet les impacts du changement climatique sans avoir les moyens d’y faire face. Si les pays riches ont accepté de tripler leur financement pour atteindre 300 milliards de dollars qu’ils s’engagent à verser chaque année d’ici 2035, le montant est bien loin de ce qu’il faudrait pour faire face aux besoins. Quant à la base de pays donateurs, que les pays riches voulaient élargir à la Chine, la Corée du Sud ou aux Etats du Golfe, le texte se contente de les “encourager” à participer de façon volontaire. Sur l’ambition climatique, aucune mention des énergies fossiles n’apparaît renvoyant le sujet à la COP30…